mercredi 21 novembre 2007

definition logistique

Les définitions des mots pour la logistique
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218 commentaires:

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Anonyme a dit…

KAIZEN

la notion japonnaise de progrès permament a été introduit en Occident quelques années après les concepts de qualité totale et de justa à temps. Le principe du kaisen est de considérer que chacun doit en permanence apporter des améliorations applicables dans son travail courant.

Livre: Management Industriel et logistique

Anonyme a dit…

Juste à temps

Il faut un système logistique offrant très peu d'inertie et capable de prendre en charge une grande variété sans engendrer des stocks pléthoriques. Il s'agit donc pour les usines de faire face à un défit: vendre du sur mesure" au prix d'un produit de série. Il fait donc produire à la demande du client sans délai tout en comprimant au maximum le coût complet de fabrication.

livre: MOIL

LE JAT a donné naissance à la méthode Kanban.

Anonyme a dit…

PERT

Cet outil fournit une méthode permettant d'optimiser et de planifier l'ordonnancement de tâches. Il est utilisé dans la gestion de projet. Son but est de trouver la meilleure organisation possible pour qu'un projet soit terminé dans les meilleurs délais, et d'identifier les tâches critiques, c'est-à-dire les tâches qui ne doivent souffrir aucun retard sous peine de retarder l'ensemble du projet.

Mail:http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_PERT

Anonyme a dit…

KANBAN

Cette technique s'appuie sur une règle simple : chaque poste de travail ne doit travailler que sur la demande du stade situé en aval de lui et non plus sur une prévision. Le système devient alors tiré par l'aval et s'apparente à un système de recomplètement de la consommation réelle des pièces.
L'information sur cette consommation est transmise, dans cette relation client-fournisseur interne, par un document standard simple appelé kanban ( qui signifie étiquette ou "support d'information" en japonais) qui sert simultanément de fiche suiveuse et d'ordre de fabrication au lot produit.

Anonyme a dit…

BPR : Business Process Reengineering (Reconfiguration de processus)
Démarche de remise en question et de redéfinition en profondeur des processus d'une organisation en vue de la restructurer pour la rendre plus efficace tout en réduisant les coûts. Cette réorganisation des méthodes de travail constitue souvent la première phase d'un projet d'informatisation: on commence par rationaliser une activité de l'entreprise (la prise en compte d'une commande d'un client) afin de bien cerner tous les cas de figure et de pouvoir déclencher des actions adéquates de manière automatique et sans ambiguïté.

Anonyme a dit…

5S : règles de base du comportement de l’opérateur vis à vis de sa machine (seiri : trier, seiton : ranger, seiso : nettoyer, seiketsu : standardiser, shitsuke : suivre) visant à éliminer les petites mais nombreuses et répétées pertes d’efficacité

TPM (Total Productive Maintenance) : Système global de maintenance industrielle fondé sur le respect des facultés humaines et la volonté participative de l’ensemble du personnel pour rentabiliser au maximum les installations.

SMED (Single Minute Exchange of Die) : méthode systématique d’analyse et de diminution des temps de changement de série dont le but est d’améliorer le TRS de l’équipement mais surtout de diminuer la taille des lots.

Anonyme a dit…

Amélioration des flux physiques :

VSM (Value Stream Mapping) : représentation graphique et documentée de la chaîne de la valeur permettant d’en faire le diagnostic et de la repenser avec l’obsession d’éliminer les gaspillages.

DBR (Drum Buffer Roap) : directement issu de la Théorie des Contraintes (TOC), le DBR consiste à orchestrer les flux de production autour des goulets afin de maximiser le débit global du système.

Taktime : c’est le rythme (le métronome) correspondant à la capacité d’absorption du marché et sur lequel l’ensemble de l’entreprise doit se synchroniser afin de produire ni trop ni trop peu.

Anonyme a dit…

Six Sigma : l’approche Six Sigma formalise la boucle cybernétique de pilotage des processus, uniformise la mesure de leurs performances et permet leur mise sous contrôle en maîtrisant leur variabilité. Le Six Sigma se décline en cinq étapes : définir, mesurer, analyser, améliorer, contrôler (DMAAC) mais se singularise surtout par la quantification des objectifs et des mesures. En effet la performance d’un processus va être exprimée par la proportion de produits (résultats du processus) conformes aux exigences, le but étant de maintenir un effectif conforme représentant six fois l’écart type (soit 99,9997%) de la distribution. On s’aperçoit qu’une approche Six Sigma peut s’appliquer à n’importe quelle granularité de processus (du macro-processus Entreprise à la machine unitaire), il faudra néanmoins éviter le piège des optimums locaux et toujours dimensionner les exigences (objectifs) d’un sous-processus comme leur contribution à la performance du processus englobant (déclinaison des objectifs et agrégation des performances).

Anonyme a dit…

La méthode CRAFT
(Computerized Relative Allocation of Facilities Technique) est une méthode itérative visant à optimiser les implantations (industrielles, entrepôts, etc.) en combinant deux critères:
- les distances entre les emplacements disponibles dans l'usine ou dans l'entrepôt
- les flux entre les postes de travail
En appliquant toutes les combinaisons possibles distances / flux, on est en mesure d'établir la solution qui minimise la valeur totale de la matrice obtenue. Cette matrice correspond à l'implantation optimale.
www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

Lean : L'école de gestion d'entreprise dite lean (littéralement : « mince », on peut traduire par « entreprise agile » ou « entreprise flexible ») lie la performance (productivité, qualité) à la souplesse d'une entreprise, qui doit être capable de reconfigurer en permanence l'ensemble de ses processus (réactivité industrielle). Les tenants du lean recherchent la performance par l'amélioration continue et l'amélioration continue par l'élimination des gaspillages (muda en japonais, dont il existe sept catégories : productions excessives, attentes, transports et manutentions inutiles, tâches inutiles, stocks, mouvements inutiles et productions défectueuses). Il est fondamental de faire une analyse mentale de la motricité sur le poste de travail et dans son milieu environnant afin d'apporter une réponse et un correctif immédiat sur la situation de travail. Le geste, le mouvement et le comportement doit être contrôlé, sécurisé et juste. (l'ergomotricité). L'école de gestion lean trouve ses sources au Japon ; sa forme la plus élaborée est aujourd'hui le Toyota Production System. Adaptable à tous les secteurs économiques, le lean est actuellement principalement implanté dans l'industrie (et avant tout dans l'automobile).

Anonyme a dit…

Cross-docking

Technique consistant à faire transiter sur une plate-forme des flux en amont pour les regrouper avec d'autres produits afin de massifier la livraison terminale

Source : livre : La logistique (méthodes et outils) de Philippe Vallin

Anonyme a dit…

modèle SCOR

SCOR est un outil de modélisation. Il définit une démarche, des processus, des indicateurs et les meilleures pratiques du moment pour représenter, évaluer et diagnostiquer la Supply Chain. Cette méthodologie basée sur le client est générique, rigoureuse, complète et structurante. Elle met en premier lieu à disposition des acteurs de la Supply Chain un langage commun et standardisé (alphabet, processus, indicateurs) qui répond à un besoin de définition unique, afin d’accélérer l’intégration interne et externe des entreprises.
Le modèle a une approche dite Top Down qui établit le lien entre la stratégie de l’entreprise et la gestion individuelle des ordres.
www.productique.org

Anonyme a dit…

DATA MINING : recherche d'informations pertinentes dans les bases de données pour effectuer des analyses.

DATA WAREHOUSING : stockage des données en vue de leur utilisation future.

DISTRIBUTION RESSOURCE PLANNING (DRP): gestion de la distribution visant à assurer un niveau de service et une optimisation des ressources par l'optimisation de la répartition des stocks et des transports.

Livre : la Logistique de Philippe Vallin

Anonyme a dit…

poka yoke

Le poka yoke est un terme japonais que l'on peut traduire par système anti-erreur.
Concept lancé par Shigeo Shingo chez Toyota, il s'agit en fait d'une démarche qualité qui vise à prévenir les erreurs en agissant sur les tâches de production et leur enchaînement dans les processus, mais aussi les équipements, les outils, etc.
Aucune opération ne doit pouvoir être mal éxécutée et aucun outil ne doit pouvoir être utilisé à contre-emploi. Les risques de non qualité et par conséquent tous les frais induits (contrôle de la production et gestion de la logistique des retours) sont ainsi minimisés.
L'accent est en particulier mis sur de systèmes d'alertes (visuelles, sonores, etc.) et sur la conception d'outils qui ne peuvent être utilisés que d'une seule manière.
exemple: les systèmes de protection des disquettes qui empêchent que celles-ci soient introduites du mauvais coté dans l'ordinateur

Anonyme a dit…

source du poka yoke: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

EFFICIENT CONSUMER RESPONSE (ECR):
démarche adoptée par les distributeurs et les fournisseurs qui vise à optimiser la gestion des flux en partant de la connaissance de la consommation finale.

EXTERNALISATION : démarche consistant à sous-traiter une partie des activités qui étaient auparavant réalisées par l'entreprise elle-même.

COLLABORATIVE PLANNING FORECASTING AND REPLENISHMENT (CPFR) : méthode de gestion des approvisionnements fondée sur le partage de l'information et des règles de travail au sein d'un réseau de fournisseurs et de clients, avec une démarche commune de prévision et d'anticipation.

Livre : La Logistique de Philippe Vallin

Anonyme a dit…

CPFR (Collaborative Planning, Forecasting and Replenishment)

Cette méthode est basée sur l’amélioration de la supply chain (chaîne d’approvisionnement) grâce à une collaboration accrue entre acteurs dont certains objectifs sont pourtant contraires (clients et fournisseurs) avec en particulier un partage des informations ayant trait aux prévisions des ventes et à la planification.
L'idée est de synchroniser les plans d'actions des entreprises en fonction de ce partage d'informations.
Le CPFR peut donc être considéré comme l’étape suivante dans la collaboration entre distribution et industrie.
source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

BENCHMARKING : observer les performances et méthodes de travail des entreprises d'un même secteur d'activité pour réaliser une étude comparative.

FLUX SYNCHRONE : méthode de gestion de l'approvisionnement ordonnançant l'arrivée des composants au moment de leur utilisation.

Livre : La Logistique de Philippe Vallin

Anonyme a dit…

SMED (Single Minute Exchange of Die)

L'application de la méthode SMED a pour objectif de minimiser les temps de changement d'outils nécessaires au passage d'une série de production à une autre.
Cette méthode est basée sur la différenciation entre tâches internes et externes :
- Les tâches internes sont les tâches dont la réalisation nécessite l'arrêt de l'outil de production
- Les tâches externes sont les tâches non directement dépendantes du processus de fonctionnement de l'outil de production. La méthode SMED préconise de les traiter en temps masqué (pendant le fonctionnement des machines)
source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

Incoterm (INternational COMmercial TERMs)

les Incoterms permettent d'harmoniser les pratiques en matière de contrats. Ils ont été rédigés pour la première fois en 1936 par la CCI (Chambre de Commerce Internationale) dans le but d'homogénéiser le vocabulaire dans les échanges et de limiter les litiges entre les vendeurs et les acheteurs.
La dernière révision des incoterms date de 1999.
Selon le choix de l'incoterm, on sait :
- qui fait quoi dans les transports de marchandises,
- qui paie le transport,
- qui assure la marchandise,
- et à partir de quel point géographique.
source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

ALLOTISSEMENT : Processus d'approvisionnement consistant pour un fournisseur à livrer en un seul lieu (entrepôt ou plate-forme) des produits regroupés en lots distincts, destinés à des lieux finaux différents. Ce mode d'approvisionnement peut s'effectuer à partir d'une commande unique dite "commande allotie" ou à partir de plusieurs commandes à livrer en même temps en un même lieu.

ALLOTISSEMENT DES COMMANDES : Dans la technique du cross-docking sous sa forme "commande allotie", les livraisons sont préparées par le fournisseur, magasin par magasin. Chaque livraison magasin est palettisée individuellement. L'ensemble des livraison sont effectuées sur une plate-forme d'éclatement où les palettes par magasin sont triées pour être redistribuées dans chaque magasin.

BUYSIDE : Solutions d'approvisionnement sur mesure pour répondre aux besoins spécifiques de l'acheteur. Les fournisseurs peuvent par exemple présenter leurs offres dans l'Extranet du client.

Source : www.e-logisticien.com

Anonyme a dit…

benchmarking

Il se penche sur la manière d'améliorer un processus d'affaires en exploitant "les meilleures pratiques" au lieu de mesurer les meilleures performances.
Il existe quatre types de benchmarking:
• Processus: Se concentre sur les processus opérationnels et les systèmes de manière distincte. Il peut regarder le service à la clientèle, la facturation, la préparation des commandes, etc. Le benchmarking des processus tente d'identifier les meilleures pratiques opérationnelles de compagnies faisant un travail ou offrant un service semblable.
• Performance: C'est un processus de benchmarking compétitif par lequel les gestionnaires analysent leur position face à la compétition. Il fixe les éléments de prix, de qualité technique et de fonctionnalités, de produits ou de service.
• Stratégie: Il examine la manière dont les compagnies compétitionnent. Il survol les industries afin de trouver les stratégies gagnantes (meilleures pratiques) ayant permis aux compagnies performantes de connaître le succès dans leur marché.
• Interne: Il regarde les meilleures pratiques internes et tente de les uniformiser à travers l'entreprise Son avantage primordial est sa facilité d'implantation et son faible niveau de temps et ressources requis. C'est souvent là que les compagnies font leurs premiers pas dans le processus du benchmarking.
Les compagnies ayant décidé de suivre le sentier du benchmarking le font principalement pour:
• Afin de développer et d'implanter des objectifs stratégiques
• Afin d'établir des objectifs réalistes et faisables
• Afin de véhiculer le sens de l'urgence
• Afin d'encourager la recherche de l'excellence et la pensée innovatrice
• Afin de développer une meilleure compréhension de l'industrie
• Afin de souligner la sensibilité aux besoins changeants du client.
source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

CPFR : (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) Application d'approvisionnement partagée, qui peut prendre plusieurs formes, mais qui consiste en une vision commune distributeur-industriel sur les prévisions de ventes et de livraison. Selon les accords entre les partenaires, il peut ensuite y avoir un échange de proposition de commande (CMI ou VMI). Cette méthode nécessite une forte collaboration des partenaires, quant aux prévisions, aux méthodes de réapprovisionnement mais également sur la gestion des promotions ou de l'introduction de nouveaux produits.

CFP : Capacity requirement Planning - Planification des besoins en capacité
Fonction d’établissement, de mesure et d’ajustement des limites ou niveaux de capacité, en particulier la détermination de la quantité de ressources (main d’œuvre et machine), nécessaires pour les tâches de production. Les ordres lancés et planifiés du calcul de besoins sont les rentrées du CRP qui convertit ces ordres en heures de travail par poste de charge et par période.

Source : www.e-logisticien.com

Anonyme a dit…

Fulfillment : Délégation de certaines opérations matérielles sur un prestataire externe. Les principaux domaines du fulfillment sont le marketing direct, la gestion des promotions et la logistique. Un site peut avoir recours au fulfillment pour la gestion, l'expédition et la facturation des commandes.

KM : Le Knowledge Management (ou gestion des connaissances) consiste à créer un flux optimal des connaissances alimenté par tous les acteurs de l'entreprise dans un contexte d'entreprise étendue. Retour d'expérience, innovation, apprentissage....sont pratiqués par tous et tous les métiers sont impliqués dans cette gestion du capital intellectuel de l'entreprise.

PBC : Planification des besoins en capacité. Associée au JAT, cette méthode permet de prévoir la demande à l'aide de données informatisées et de réduire considérablement les stocks.

Source : www.e-logisticien.com

Anonyme a dit…

SCEM : Supply Chain Event Management - Outil de gestion des évènements et anticipation des dysfonctionnements de la chaîne logistique grâce à des alertes logistiques. La principale caractéristique du SCEM est qu'au lieu de gérer plusieurs processus à l'intérieur d'une entreprise, il gère plusieurs entreprises maîtrisant un seul processus. Les 5 fonctions du SCEM : surveillance des évènements, notification des utilisateurs d’un éventuel problème dans la chaîne, simulation de l’impact futur des évènements courants dans l’entreprise, contrôle manuel ou automatisé des utilisateurs et mesure de l’effet produit.

VMI : Vendor Managed Inventory - Pilotage des niveaux de stock par les consommations. Méthode de gestion des localisations et des niveaux de stock, basée sur les consommations réelles des produits en surface de vente, dont la gestion du flux, depuis les sites de production jusqu'à la mise en place dans les linéaires des magasins est pilotée par le fournisseur.

WebEdi : Outil permettant l'échange de données entre une communauté d'entreprises qui utilise des traitements d'échange automatisés et une communauté d'entreprises qui utilise des formulaires électroniques. Le Web Edi ou Edi formulaire est une solution EDI maintenue à distance et bâtie sur les standards EDI et Internet. Ainsi pour l'entreprise déjà équipée d'une station EDI les flux entrants et sortants restent gérés par le ou les RVA utilisés avec les partenaires existants. C'est au RVA de router les messages vers le Web Edi. La fonction de ce WebEdi est de traduite les messages EDIFACT en clair et d'en permettre la consultation, via une connexion Internet par la petite entreprise. Toutefois, ces messages, sous la forme de formulaires, ne peuvent être intégrés automatiquement dans une application de gestion. Des outils ont d'ores et déjà été développés afin de permettre l'échange de messages commerciaux, la mise à jour de données commerciales ou de données partenaires.

Yield Management : Mode particulier de tarification différencié en fonction du moment de réservation et de la période choisie. Système surtout utilisé en gestion hôtelière et dans le domaine des compagnies aériennes qui permet d'optimiser le CA avec des coûts et des capacités en grande partie fixes.

Source : www.e-logisticien.com

Anonyme a dit…

Workflow : Système d'ordonnancement des flux de travaux dans une organisation. A la base du Workflow, il y a une modélisation des fonctions et procédures de l'entreprise. La plupart des solutions de Workflow prennent en charge la régulation des flux de travaux en prenant compte des notions de synchro, de temps d'exécution et des alertes.

Source : www.e-logisticien.com

Anonyme a dit…

5 « POURQUOI »
Cet outil d’analyse permet de rechercher les causes d’une situation problème, d’un dysfonctionnement. C’est un outil de questionnement systématique destiné à remonter aux causes premières possibles d’une situation, d’un phénomène observé.
Version simplifiée de l'arbre des causes qui consiste à se poser plusieurs fois la de suite la question : " Pourquoi ? " et à répondre à chaque question en observant les phénomènes physiques.
La plupart des problèmes sont entièrement résolus en moins de cinq questions.
Le problème : Fuite d'huile sur presse hydraulique
1.Pourquoi ? Filtre bouché
2. Pourquoi ? Huile sale
3. Pourquoi ? Particules métalliques dans l'huile
4. Pourquoi ? Bouchon de remplissage absent
5. Pourquoi ? Mal positionné et perdu
La solution : Bouchon de remplissage d'huile attaché à une chaîne fixée sur carte.

Source : commentcamarche.net

Anonyme a dit…

ERP : Entreprise Resource Planning) ou PGI (Progiciel de Gestion Intégré) est un progiciel centralisant les données et fonctions de gestion d’une entreprise. Un système ERP comporte différents modules correspondant chacun à une fonction de l’entreprise :
- Gestion Comptable et Financière
- Gestion de Production
- Gestion et Administration des Ventes
- Gestion des Achats
- Gestion des Stocks
- Gestion des Ressources Humaines
- Gestion de la Logistique et de la Distribution
Avantages de l’ERP :
- une productivité accrue par un accès plus facile et plus rapide à l’information
- un meilleur contrôle des coûts à la fois accru et plus précis
- des temps de réponse aux clients plus rapides par une vision globale améliorée de la chaîne d’approvisionnement à tous les sites
- un accès à l’information amélioré grâce à la base de donnée intégrée accessible par toutes les applications
un meilleur processus de prise de décisions

Source : cours perso

Anonyme a dit…

SAP (exemple d'ERP): Systems, Applications, and Products for data Processing en anglais et Systeme, Anwendungen und Produkte in der Datenverarbeitung en allemand est le progiciel de gestion intégré mis en place par la société allemande SAP Aktiengesellschaft, éditeur de progiciels intégrés.

source : site SAP

Anonyme a dit…

MTBF : La moyenne des temps entre deux pannes, souvent abrégé en MTBF, (en anglais Mean Time Between Failures, temps moyen entre pannes), est le temps moyen avant panne. Cette valeur indique la fiabilité d'un composant. (Souvent traduite à tort en Français par moyenne des temps de bon fonctionnement)
Il ne faut pas confondre MTBF et durée de vie : le MTBF est une mesure du taux de défaillances aléatoires dans un lot de composants, à l'exclusion des pannes systématiques dues par exemple aux défauts de fabrication (« défauts de jeunesse ») et à l'exclusion de l'usure due à l'usage (wear out en anglais).

Source : wikipedia

Anonyme a dit…

MES : progiciel intégré au niveau de l’atelier. On y retrouve les fonctions suivantes :
- ordonnancement à capacité fine
- gestion des ressources de production : utilisation et suivi du personnel, des machines, des outils, des matières
- gestion des ordres de fabrication : gestion du flux des ordres et des lots
- gestion des documents
- traçabilité des produits
- analyse des performances des opérations de production
- gestion du travail, de la maintenance, des process, de la qualité
- acquisition de données : interfaces pour collecter des données en temps réel sur des équipements de l’entreprise ou par un relevé manuel des opérateurs.

Source : cours perso

Anonyme a dit…

Le diagramme de Kano :

Le but est de classer les attentes des clients en 3 catégories : les attentes de base (implicite et apportent pas de satisfaction particulière). Les attentes explicites qui apportent une satisfaction proportionnelle à la réponse. Les attentes qui amènent une satisfaction du type « heureuse surprise », elles correspondent à des besoins émergeants.

Anonyme a dit…

Diagramme d’Ishikawa (diagramme de causes-effet).

C'est un outil d’analyse, permettant de poser un problème de qualité pour l’éliminer en remontant à sa cause.
Il se construit à l’aide d’un brainstorming avec un « candide » dans le groupe pour prendre en compte tous les facteurs potentiellement en cause.

Anonyme a dit…

Système HACCP (Hazard Analysis Critical Control Point).

Le but est de diminuer les défauts pendant la fabrication au lieu de faire des tests de qualité sur les produits finis. Cette méthode repose sur 7 principes.1:Analyse des risques potentiels pour chaque étape de fabrication.2:déterminer les points critiques pour la maîtrise des risques (CCP). 3:Etablir les limites critiques à respecter. 4: Mettre en place un système de surveillance. 5:Déterminer des mesures correctives au cas où le système de surveillance signale un CCP non maîtrisé. 6:Appliquer des procédures de vérification concernant le système HACCP. 7:Faire un dossier de toutes les procédures mise en place.

Anonyme a dit…

Méthode DMAIC (Define; Mesure; Analyse; Improve; Controle) :

Le but est d’améliorer les processus existants. 5 étapes :
1:Définir les objectifs d’amélioration des processus selon les attentes des clients et la stratégie d’entreprise.
2:Mesurer les processus et réunir les informations pour effectuer une comparaison avant/après.
3.Analyser les relations de causalité.
4.Améliorer les processus en fonction des résultats précédents.
5.Contrôle et test des nouveaux processus.

livre: MOIL

Anonyme a dit…

AMDEC (Analyse des Modes de Défaillances et de leurs Criticités)

L'AMDEC est une technique utilisée dans la phase de conception d'un produit, d'un matériel ou d'un processus. Elle vise à anticiper les différents défauts ou pannes pouvant survenir sur un produit ou une machine, et à imaginer préventivement toutes les actions suscpetibles d'y remédier. MIL ed 2003

livre: MOIL

Anonyme a dit…

Méthode OPT

La méthode OPT est une démarche de progrès permanent. Elle est applicable à tous les processus de production caractérisés par des goulets d'étranglement. Elle répond à trois objectifs :
- maximiser les ventes
- réduire les stocks
- réduire les coûts

source: http://www.faq-logistique.com/Methode-OPT.htm

Anonyme a dit…

Méthode SPC (Statistical Process Control):

Cette méthode consiste à contrôler des échantillons de produit en sortie de machine. Elle sert à améliorer la qualité des opérations faites sur les machines. Dans le cas d'un travail majoritairement manuel l'objectif est d'éviter les erreurs d'inattention, les oublis ou les défauts liés à la précipitation.

livre: Moil

Anonyme a dit…

Le diagramme d'affinités (méthode KJ)
Cette méthode permet de recueillir tous les points de vue, idées suscités par une question particulière. Les diagrammes d'affinités ordonnent les informations en les groupant par catégories dans le but d'une analyse. Le diagramme d'affinités présente une procédure assez simple d'approche pour recueillir et traiter les impressions subjectives, les perceptions de chacun des individus et les réactions. Il met en lumière le plus souvent les causes premières ou les solutions à un problème.
Cet outil ne fait que tourner la conversation sur un sujet et à susciter la discussion. Il s'agit, dans une forme moins structurée d'une analyse de causes à effet.

Source : http://www.achats-industriels.com/

Anonyme a dit…

Andon
Outil pour améliorer la qualité de la production.
Tableau indicateur lumineux suspendu au dessus de la chaine de production.
Des couleurs guident les techiniciens:
- Vert: aucun problème
- Orange: Demande d'aide pour un réglage à faire sur la ligne
- Rouge: Problème à résoudre il faut arreter la ligne.

Anonyme a dit…

 Schéma heuristique
Outil de création, de recherche d’idées, de planification, de vision globale d’un projet
Pour construire un schéma heuristique :
- Noter l’idée principale au centre d’une feuille
- Noter ce qui fait référence à ce sujet central en l’associant par des lignes.
On peut ainsi voir les causes et les conséquences de chaque action de façon globale. On voit la hiérarchisation des taches, les plus importantes étant les plus proches du centre. La structure obtenue par un processus de regroupements et d’association favorise la création, l’inventivité et la mémorisation.

Sources : http://www.creativite.net/ et cours de Gestion de projet ESC Dijon

Anonyme a dit…

 Les phrases lues au hasard
Outils de recherche d’idées

Un animateur prend un livre et lit des phrases au hasard.
Les mots de la phrase font apparaitre des associations d’idées.

Exemple : On chercher à ouvrir une boite
Phrases lues : « Son père qui, de l’avis unanime, était inflexible, l’aurait jeté à la porte s’il avait appris la vérité »
Le mot inflexible peut donner l’idée de tordre la boite
Le mot jeté peut donner l’idée de laisser tomber la boite de très haut

Source : Précis d’organisation et de gestion de la production, Luc Boyer, Michel Poirée, Elis Salin

Anonyme a dit…

 Focused Factories
Outil pour améliorer la production.

Usines centrées sur une activité particulière en éclatant des grosses unités centrales. Chaque unité en se spécialisant dans son domaine maitrise mieux son processus de production et les technologies nécessaires à la fabrication. Processus utilisé par Mitsubishi au Japon ou Hewlett-Packard aux Etats-Unis.

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

 QQOQCP
Outil pour améliorer le processus

Afin d’améliorer un processus, il convient tout d’abord de l’analyser en répondant aux interrogations suivantes.
Que fait-on ?
Quand le fait-on ?
Qui le fait ?
Où le fait-on ?
Comment le fait-on ?
Pourquoi le fait-on comme cela ?
Qui, Quoi, Ou, Quand, Comment, Pourquoi
Les réponses permettront d’avoir une vue d’ensemble de l'état d'un processus.

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

Analyse de la valeur:

L'analyse de la valeur, conçue par Larry Miles chez Général Electric il y a plus de 50 ans, est une méthode particulièrement efficace pour recentrer la conception des produits sur la question du " juste nécessaire" pour satisfaire les clients. Son objectif est d'éradiquer les coûts inutiles grevant les coûts de conception.

Source : chef-de-projet.org

Anonyme a dit…

Plan d'expérience:

Cet outil est très efficace pour améliorer la qualité de vos processus car ils permettent de déterminer, grâce à une série d’expérimentations judicieusement choisies, les facteurs (paramètres) ayant une influence significative sur la caractéristique à maîtriser.
A ce titre, il constitue une suite logique aux diagrammes causes-effets mis en œuvre après une AMDEC par exemple.
Les plans d’expériences vous permettent de plus de déterminer les valeurs optimales de réglage des différents facteurs influents, pour obtenir la valeur souhaitée de la caractéristique.

Source : www.cyber.uhp-nancy.fr

Anonyme a dit…

SPC :

La Maîtrise Statistique des Procédés MSP (ou Statistic Process Control SPC) est une méthode de maîtrise de la production basée sur l’analyse statistique. Elle favorise le développement de l’autocontrôle et permet de garantir le niveau de qualité optimum à chaque étape de la fabrication. Le but du SPC est de privilégier la démarche préventive.

Source : www.actors-solutions.com

Anonyme a dit…

Le lean manufacturing:

Le Lean manaufacturing est un ensemble de techniques visant à l’élimination de toutes les activités à non valeur ajoutée, le principe du lean manufacturing consiste entre autres à ne fabriquer que ce qui a été effectivement vendu, c'est-à-dire de passer à un flux tiré par la demande réelle et à intégrer les techniques du juste à temps (Kanban, SMED 5S).

Source : www.logistiqueconseil.org

Anonyme a dit…

Le lean management :

Ensemble de techniques visant à l’élimination de toutes les activités à non valeur ajoutée. « Lean » en français signifie « Moindre ». Le Lean management est de ce fait une technique de gestion essentiellement concentrée vers la réduction des pertes générés à l’intérieur d’une organisation, pour une production et un rendement plus justes.

Les objectifs du Lean management sont :

réduire la durée des cycles de production,
diminuer les stocks,
augmenter la productivité,
optimiser la qualité.

Source : www.logistiqueconseil.org

Anonyme a dit…

Audit performance machine:

Basé sur l'utilisation optimale de l'équipement, l'audit performance machine identifie, mesure, valorise toutes les natures et causes de non production selon trois catégories : arrêt propres et induits, sous performance, non qualité. Le taux de rendement synthétique, TRS, est le rapport temps utile à produire/temps d'ouverture.

Source : "Techniques d'amélioration continue en production" de R.Chapeaucou

Anonyme a dit…

Autocontrole:

Méthode permettant la gestion de la qualite,l'éxucutant controlant lui-meme le travail qu'il a accompli: Détecter les défaillances le plus tôt possible ,Impliquer l’opérateur dans son travail et Réduire le contrôle final des produits.

Source : "Techniques d'amélioration continue en production" de R.Chapeaucou

Anonyme a dit…

Simogramme (man-machine chart):

Méthode utilisant une représentation graphique permettant d'améliorer la productivité horaire et permettant de maximiser le nombre de machines et d'opérations pour un homme.

Source : "Techniques d'amélioration continue en production" de R.Chapeaucou

Anonyme a dit…

 Equipe de résolution de problème ou cercles de qualité
Outil de résolution de problème

Ce sont des équipes composées de 5 à 12 employés et d’agent de maitrise qui se rencontrent afin d’analyser et résoudre des problèmes liés à la production ou à la qualité. Ce sont les travailleurs directement en charge du processus, car ils le connaissent parfaitement, qui sont les plus aptes à trouver des solutions aux problèmes rencontrés. Cette formule vise à encourager aussi l’esprit d’équipe et l’initiative des employés.

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

 QFD, Quality function deployment (en français : Le déploiement de la fonction qualité)
Outil d’amélioration de la qualité

C’est un moyen de traduire les exigences des clients en termes de qualité en exigences techniques. Le responsable doit répondre aux 6 points suivant:
- L’avis du consommateur
- L’analyse de la concurrence
- L’avis du concepteur
- Les corrélations
- La comparaison technique
- Les compromis

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

 Checklists
Outil de collecte de données

Formulaire dans lequel on enregistre la fréquence de certaines caractéristiques. Elles sont mesurable (exemple : diamètre, hauteur) ou suivit d’une réponse oui/non (exemple : présence de peinture, de vernis)

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

 Diagrammes de Pareto
Outil d’amélioration de la qualité

Selon le concept de Pareto, 80% de l’activité est dues à 20% de facteurs. Le diagramme de Pareto permet d’identifier ces facteurs vitaux. En réglant ces facteurs vitaux on résout 80% des problèmes de qualités.

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

 Modèles de file d’attente
Outil de prévision de la capacité

On modélise les processus comme des files d’attente à l’aide de loi de probabilité. On peut prévoir en termes de probabilité les goulets d’étranglements, le délai d’attente moyen, la longueur moyenne de la file d’attente. Le responsable ajustera ensuite la capacité nécessaire au processus.

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

 Arbres de décision
Outil de prévision

Cet outil permet de visualiser l’ensemble des solutions de développement possibles.
On construit un arbre partant de la situation initiale, chaque branche représente une possibilité et une probabilité. A la fin de l’arbre on calcule le bénéfice de chaque situation.

Source : Management des opérations, principes et applications, Larry Ritzman, Lee Krajwski

Anonyme a dit…

Méthodes pour la gestion, analyse et mesure des temps opératoires

Le Chronométrage

C'est l'action de chronométrer les durées des opérations effectuées par un opérateur sur son poste de travail. En fonction de la précision désirée, les temps obtenus peuvent être exprimés en diverses unités : Minutes, Secondes, 100ème de seconde, DMH (10 millième d'heure) ou CH (centième d'heure).
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chrono-analyse

Anonyme a dit…

Méthodes pour la gestion, analyse et mesure des temps opératoires

Le Jugement d'Allure

Opération par laquelle un observateur entraîné apprécie l'allure d'un exécutant par rapport à la représentation mentale qu'il a de l'allure d'un exécutant type placé dans les mêmes conditions (Allure Modale).
On juge cette allure en fonction des critères de :
* Précision,
* Méthode,
* Rapidité.
Le Jugement d'Allure se traduit par l'énoncé de la valeur numérique du rapport Allure Jugée / Allure Modale.
Source:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chrono-analyse

Anonyme a dit…

Méthodes pour la gestion, analyse et mesure des temps opératoires

Chrono-analyse

La Chrono-analyse est la méthode la plus utilisée afin de définir un temps de production en entreprise.
Outre le chronométrage simple d'un exécutant lors de ses tâches productives, elle consiste à appliquer certains coefficients :
* Le Jugement d'Allure, d'Activité ou d'Efficacité (JA, JGA, JE),
* Le Coefficient de Besoins Personnels,
* Le Coefficient de Repos,
* Les Coefficients d'Ambiance,
* Les Coefficients d'entreprise (s’ils existent).
Le but de la chrono-analyse est de définir le temps de production pouvant être tenu par l'ensemble de la population active pour une activité donnée.

Source:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chrono-analyse

Anonyme a dit…

Video-analyse

C'est une methode utilise pour analyser le processus de la production.
La réalisation d'un film restitue l'ensemble des éléments de la transformation. Il devient possible d'analyser à tout moment avec recul et exhaustivité la production sous différentes approches, notamment:
- La gestuelle de l'opérateur.
- Le mode opératoire utilisé.
- La conception des outils.
- L' ergonomie et la disposition du poste de travail...

Source:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chrono-analyse

Anonyme a dit…

Logistique globale:
La gestion de la Chaîne logistique globale, ou "Supply Chain Management" (SCM), correspond à une pensée structurante pour l'entreprise, mais également pour ses fournisseurs et ses clients. Elle permet de mieux relier dans leurs échanges d'information, en s'aidant d'Internet et de progiciels de type PGI, tous les acteurs de la Chaîne Logistique Globale détaillants, grossistes, distributeurs, fabricants, producteurs, transporteurs, etc.

http://www.agrojob.com/

Anonyme a dit…

Logistique intégrée:Logiciel qui permet de gérer de façon optimale la totalité des flux d'information, des flux physiques et des interfaces entre les différents acteurs, producteurs et fournisseurs qu'implique la fabrication d'un produit ou l'offre d'un service, à partir des renseignements concernant la demande jusqu'aux données nécessaires à la distribution, en passant par la conception et la production. Souvent, le système de gestion de la chaîne logistique se greffe au progiciel de gestion intégrée d'une entreprise et aux logiciels GPAO (gestion de la production assistée par ordinateur) qu'elle utilise.

http://www.agrojob.com/

Anonyme a dit…

3 PL : L'externalisation classique consiste à confier à un spécialiste la réalisation des opérations logistiques et la mise en place des outils, compétences et systèmes nécessaires, avec l'objectif d'améliorer la performance. En particulier, depuis les années 80, les transporteurs classiques et des prestataires logistiques tels que Geodis ont développé des offres de services à plus forte valeur ajoutée, les conduisant à devenir de véritables prestataires logistiques réalisant des tâches de plus en plus variées.

http://www.agrojob.com/

Anonyme a dit…

Le 4PL
il représente une formule d'externalisation plus poussée, dans laquelle le prestataire n'a plus en charge la distribution d'un produit sur une région donnée, mais l'optimisation d'une chaîne intégrant son client, les clients du client et les fournisseurs. Le prestataire 4PL exerce une activité de planification et de coordination de flux d'informations. Il conçoit à la fois l'architecture logistique et le système d'informations s'appliquant à ces processus intégrés. Par contre, il n'exécute pas les flux physiques correspondants, qui sont confiés à des opérateurs physiques distincts ou des prestataires.

Anonyme a dit…

la roue de Deming:
il est une illustration de la méthode qualité PDCA(Plan Do Check Act).
Il comporte 4 étapes,chacune entraînant l'autre,et vise a établir un cercle vertueux.Sa mise en place doit permettre d'améliorer sans cesse la qualité d'un produit,d'une œuvre,d'un service.
1.Plan:ce que l'on va faire
2.Do:production
3Check:mesure,vérification
4.Act:décision améliorative,corrective

http://www.agrojob.com/

Anonyme a dit…

Total Quality Management (TQM)

Gestion qualitative de l'ensemble des facteurs pouvant influencer la qualité des performances d'une organisation. Elle s'appuie en particulier sur des systèmes de mesure de performance et d'amélioration continue.
C'est une stratégie de management qui suive l'introduction de la qualité dans toutes les processus de l'organisation.

Source:
http://www.agrojob.com

Anonyme a dit…

Les Groupes d’Amélioration de la Qualité (GAQ)

Suite des cercles de qualité, la constitution de ce type de groupe est justifiée par le fait que les processus à améliorer impliquent plusieurs postes de travail appartenant parfois à des services différents. Les opérateurs de ces processus sont les plus capables d’identifier les causes des dysfonctionnements et d’imaginer des solutions pour y remédier.

Source:http://www.logistique.com/fr

Anonyme a dit…

Le 360° feed-back

Le 360° feed-back est un outil d’observation et d’évaluation des managers. Il permet à un cadre d’entreprise de comparer sa propre évaluation à la perception de son entourage. Des questionnaires anonymes recueillent les points de vue d’un ou deux supérieurs hiérarchiques, de trois à cinq pairs fonctionnels et inter fonctionnels, de trois à cinq collaborateurs et du participant.

Source: http://www.logistique.com/fr, Christophe BOURGEOIS
Agrégé d’économie et gestion

Anonyme a dit…

PLANIFICATION SOUS CONTRAINTES (CONSTRAINT BASED PLANNING CBP) : Méthode et techniques permettant de planifier, à capacités finies et réalistes (parce que suivies et mesurées) ou sous contraintes (délai, objectifs de marge, disponibilité des ressources), l'ensemble des activités opérationnelles sur des horizons court terme mais également sur les niveaux tactiques et stratégiques de la Supply Chain. Ceci peut s'appliquer aussi bien au niveau de l'ordonnancement court terme de production que sur la modélisation/optimisation de réseau logistique (couche stratégique).

http://www.agrojob.com/

Anonyme a dit…

L'Algorithme de Johnson

Moyen d'optimiser l'ordonancement de process simples.L'algorithme permet notamment de définir l'ordre de passage des différents produits tout en assurant un temps de production le plus court possible.

http://membres.lycos.fr/hconline/fp_johnson.htm

Anonyme a dit…

CAPACITE FINIE / CAPACITE INFINIE
intégration automatique ou non des contraintes capacitaires des moyens et différentes ressources de production dans le processus d?ordonnancement, sur la base de règles prédéfinies (contraintes de délai, rendement, débit, groupements et nomenclatures technologiques, etc.

Anonyme a dit…

CAHIER DES CHARGES :
Document énumérant et décrivant les travaux et prestations (ainsi que leurs modalités d'exécution) qu'il est nécessaire de mener à bien pour atteindre les objectifs d'un programme.

Anonyme a dit…

Genchi Genbutsu

Cela signifie "vas-y et regarde par toi même", c'est une part importante du "Toyota Product System".Cela fait référence au fait que différentes informations à propos d'un processus seront simplifiées et modifiées quand elles seront raportées.Cela signifie que si l'on se trouve loin du lieu où les problèmes se passent, les solutions seront innapropriées.Il est donc important de se déplacer et de constater les problèmes pour mieux en dégager les solutions.

http://en.wikipedia.org/wiki/Genchi_Genbutsu

Anonyme a dit…

QRQC (Quick Response Quality Control):
Les objectifs sont:
- Obtenir la mise en place d’une pratique régulière et systématique de cette méthode basée par exemple sur le 8D.
- Faire participer systématiquement les fonctions de production avec l’appui des fonctions supports.
- Garantir une escalade progressive dans l’implication des managers.
- Comprendre et respecter les 6 facteurs clés de réussite et notamment le traitement sur le lieu de survenance du problème

http://www.euro-symbiose.fr/formations/qualite/detail.asp?arid=608

BIGNON Eva a dit…

L'EPC (Electronic Product Code) :

Le système américain EPC a pour objet la standardisation du code. Il associe la technologie RFID à un réseau de bases de données utilisant les technologies internet. Chaque objet est identifié par une numéro de série : le code EPC. Lors de son passage dans une zone de lecture, toutes les informations relatives à l'objet sont retrouvées dans le réseau EPC.

Source: www.faq-logistique.com

BIGNON Eva a dit…

RFID:
La RFID est un système d'identification par radiofréquence qui permet d'écrire, de stocker et de relire des informations sur des étiquettes électroniques intégrées aux produits à tracer.

Un système RFID se compose d'une puce électronique équipée d'une antenne (l'étiquette RFID) et d'un lecteur.

Source: www.faq-logistique.com

BIGNON Eva a dit…

Le Picking Vocal:
Basé sur la reconnaissance vocale, ce système permet via un ensemble casque / micro au préparateur de "communiquer" avec le système de gestion d'entrepôt

Chaque utilisateur doit au préalable opérer un "paramétrage vocal". Une fois ce paramétrage effectué, il suffit de se connecter pour que le système affecte des ordres de déplacements et de prises aux préparateurs. Chaque opération peut être contrôlée oralement par confirmation de l'adresse des emplacements et décompte des unités prélevées / restant à l'adresse picking.


La communication entre le serveur et l'opérateur est donc réciproque, le système étant en mesure d'interpéter les messages de l'opérateur.

En libérant les mains du préparateur, le picking vocal permet à la fois d'améliorer la productivité et de réduire les erreurs de préparation.


source: www.faq-logistique.com

BIGNON Eva a dit…

EAI:
L'objet de l'EAI (Enterprise Application Integration, traduisez intégration des applications de l'entreprise) est l'intéropérabilité et l'organisation de la circulation de l'information entre des applications hétérogènes, c'est-à-dire faire communiquer les différentes applications constituant le système d'information de l'entreprise, voire même celles des clients, des partenaires ou des fournisseurs.

Un projet d'EAI consiste donc dans un premier temps à mettre en place une architecture dans laquelle les différentes applications communiquent entre elles. Il s'agit donc de développer des connecteurs (middleware) permettant d'interfacer des applications utilisant des protocoles de communications différents (généralement propriétaires).

Toutefois le projet d'EAI va au-delà de l'intéropérabilité entre les applications : il permet de définir un workflow entre les applications et constitue ainsi une alternative aux ERP avec une approche plus modulaire.

Néanmois, l'EAI conserve des limites liées à la rigidité de l'existant (appelé legacy, traduisez héritage), si bien qu'il est nécessaire de modifier le connecteur lors de modifications importantes des applications.
Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

ILM:
La démarche de l'ILM (Information Lifecycle Management) consiste à prendre en compte une réflexion globale sur la gestion rationnelle du patrimoine d'information de l'entreprise en fonction de la valeur de l'information et du coût de son stockage.

L'ILM est une démarche globale visant d'une part à rationnaliser les moyens de stockage de l'information afin de prendre en compte les exigences techniques, réglementaires et juridiques les plus adaptées pour stocker et rendre disponible l'information, d'autre part pour assurer un suivi du cycle de vie des documents.

L'ILM prend ainsi en compte les notions de disponibilité et de rapidité d'accès à l'information en fonction de l'évolution de sa valeur dans le temps, de sa création à sa destruction.

Une démarche d'ILM permet d'appliquer des règles de stockage différentes selon la valeur de la donnée à sauvegarder, afin d'adapter au mieux les critères suivants :

utilité de la donnée
exigences de sécurité : intégrité, confidentialité et disponibilité des données
exigences réglementaires sur les données
temps d'accès aux données
coût de stockage
Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

Tierce maintenance applicative:
La tierce maintenance applicative (notée TMA) consiste à externaliser la maintenance des applications, c'est-à-dire confier tout ou partie de la maintenance des applications à un prestataire informatique tiers contre rémunération en définissant des niveaux de disponbilité, de délais et de qualité.

La maintenance applicative consiste à assurer le bon état de fonctionnement d'un logiciel, ce qui comprend notamment la correction des bugs, l'adaptation à un nouvel environnement ou à de nouveaux cas d'utilisation ou encore assurer la montée en charge de l'application.

Par opposition, la maintenance évolutive, non couverte par la TMA, consiste à apporter de nouvelles fonctionnalités à une application.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

EIS:
Un EIS (Executive Information System) est un outil permettant d'organiser, d'analyser et de mettre en forme des indicateurs afin de constituer des tableaux de bord. Ce type d'outil, facile à utiliser, ne permet de manipuler que des requêtes préalablement modélisées par le concepteur.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

OLAP:
Le but de l'OLAP (On-Line Analytical Processing) est de permettre une analyse multidimensionnelle sur des bases de données volumineuses afin de mettre en évidence une analyse particulière des données (il est l'objet d'un questionnement particulier).

Grâce à l'OLAP, les utilisateurs peuvent créer des représentations multidimensionnelles (appelées hypercubes ou « cubes OLAP ») selon les critères qu'ils définissent afin de simuler des situations.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

Datamining :
Le Datamining (littéralement « forage de données »), contrairement à l'analyse multidimensionnelle (OLAP), a pour but de mettre en évidence des corrélations éventuelles dans un volume important de données du système d'information afin de dégager des tendances.

Le datamining s'appuie sur des techniques d'intelligence artificielle (réseaux de neurones) afin de mettre en évidence des liens cachés entre les données.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

GED:
La GED (Gestion électronique de documents ou, en anglais, Electronic Content Management, noté ECM ou Electronic Document Management, noté EDM) représente l'utilisation de moyens informatisés pour l'ensemble de la gestion d'un document électronique (fichier texte, fichier tableur, image, vidéo, fichier audio etc.).

L'objectif de la GED est de parvenir à constituer un référentiel de l'ensemble des documents de l'entreprise, qu'ils soient structurés (bases de données, XML, etc.) ou non (HTML, etc.) afin d'être en mesure de gérer leur cycle de vie, de leur création à leur destruction.

Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

ITIL:
ITIL (IT Information Library, traduisez bibliothèque de l'infrastructure des technologies de l'information) est un cadre de référence (en anglais framework) proposé par l'OGC (Office of Government Commerce) du Royaume-Uni rassemblant, dans un ensemble de guides, les meilleures pratiques en matière de management des services informatiques.La bibliothèque ITIL a été initiée dès le début des années 80 par le gouvernement britannique afin d'améliorer le service rendu par leurs directions informatiques.

L'objectif d'ITIL est de doter les directions des systèmes informatiques (DSI) d'outils et de documents leur permettant d'améliorer la qualité de leurs prestations, c'est-à-dire améliorer la satisfaction de leurs clients, tout en répondant au mieux aux objectifs stratégiques de l'organisation. Pour ce faire, l'approche consiste à considérer le Service informatique comme un ensemble de processus étroitement liés. Pragmatiquement, ITIL répond à la logique visant à faire en sorte que l'informatique soit au service du personnel et des clients et non l'inverse.

La démarche ITIL n'a pas comme seul bénéficiaires les directions informatiques puisqu'elle consiste à sensibiliser ces dernières sur le fait que la qualité et la disponibilité de l'infrastructure technologique a un impact direct sur la qualité globale de l'entreprise.

Source: www.commentcamarche.net

Anonyme a dit…

La courbe en S

La courbe en S est un outil de gestion de projet et surtout de suivi de projet. L'idée est de représenter graphiquement l'état d'avancement du projet.
On parle de courbe en forme de S car de manière générale, le projet suit cette forme de S avec un démarrage progressif, suivi d'une accélération, puis enfin d'un ralentissement lorsque le projet touche à son terme.
On trace cette courbe en phase d'avant-projet. On obtient alors une courbe prévisionnelle d'avancement du projet à laquelle on peut se référer au fur et à mesure de l'avancement du projet pour identifier les éventuels retards pris et donc maîtriser les éventuelles dérives.
Plus la deuxième courbe qui représente l'avancement réel du projet se trouve décalée vers la droite plus le projet a pris du retard.

BIGNON Eva a dit…

CMMI :
CMMI (Capacity Maturity Model Integrated, traduisez modèle intégré du niveau de matûrité) est un modèle d'évaluation du niveau de maturité d'une entreprise en matière de développements informatiques.

Basé sur le CMM, dont il reprend l'essentiel des notions en élargissant son périmètre, le CMMI propose un référentiel des meilleures pratiques (best practices) en matière de développement logiciel.

L'objectif est d'encourager les entreprises à mettre leurs processus sous contrôle, à les améliorer de façon continue et d'évaluer leur niveau de matûrité sur l'échelle de cinq niveaux de matûrité proposée par le CMMI.
Source: www.commentcamarche.net

BIGNON Eva a dit…

diagramme de GANTT :
Le diagramme de GANTT est un outil permettant de modéliser la planification de tâches nécessaires à la réalisation d'un projet. Il s'agit d'un outil inventé en 1917 par Henry L. GANTT.

Etant donné la relative facilité de lecture des diagrammes GANTT, cet outil est utilisé par la quasi-totalité des chefs de projet dans tous les secteurs. Le diagramme GANTT représente un outil pour le chef de projet, permettant de représenter graphiquement l'avancement du projet, mais c'est également un bon moyen de communication entre les différents acteurs d'un projet.

Ce type de modélisation est particulièrement facile à mettre en œuvre avec un simple tableur mais il existe des outils spécialisés dont le plus connu est Microsoft Project. Il existe par ailleurs des équivalents libres (et gratuits) de ce type de logiciel.
Source: www.commencamarche.net

Anonyme a dit…

La Reverse Logistics / La logistique des retours:
La logistique des retours concerne la gestion des flux du consommateur vers le producteur.
Ces flux peuvent avoir pour objet la gestion du Service Après Vente (SAV), le recyclage des déchets ou la gestion des invendus (en particulier dans la distribution de la presse par exemple).
Activité clé pour des secteurs comme la presse, le commerce électronique ou la vente par correspondance, les problématiques de protection de l’environnement exigent également une logistique inversée performante.
Il est nécessaire de distinguer deux types de retour :
- Le retour des produits …
- Le retour des emballages
Source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

Le stock de sécurité

Définition et objectifs :
Le stock de sécurité est le niveau de stock qui permet de limiter les ruptures de stock dues aux aléas (prévisions non conforme à la demande, délai d'approvisionnement plus long que prévu, etc.)
Ce stock de sécurité est dimensionné en fonction de plusieurs critères :
> l'importance relative des coûts de stockage et des coûts d'opportunité (coût d'une non vente):
- Plus les coûts de stockage sont importants par rapport aux coûts d'opportunité, moins le niveau du stock de sécurité sera élevé
- Plus les coûts d'opportunité sont importants par rapport aux coûts de stockage, plus le niveau du stock de sécurité sera élevé
> le niveau des aléas:
- Plus les aléas sont importants, plus le niveau du stock de sécurité sera élevé
- Moins les aléas sont importants, moins le niveau du stock de sécurité sera élevé
> le niveau de service souhaité:
- Plus on recherche une qualité de service importante (nombre de commandes livrées dans les temps), plus le niveau du stock de sécurité sera élevé
- Moins la qualité de service n'a d'importance, moins le niveau du stock de sécurité sera élevé

http://www.faq-logistique.com/AccueilMethodes.htm

BIGNON Eva a dit…

La méthode des Zéros :
En réaction aux limites du Taylorisme et du Fordisme, le Toyotisme apporte des notions de réactivité (flux tendus grâce au Kanban), et de qualité de la main d'oeuvre (polyvalence, tâches plus variées et donc motivantes).
L'objectif du toyotisme est de responsabiliser les ressources humaines, de promouvoir leurs potentiels et la qualité du travail et de la production.
Pour réduire les coûts et de lutter contre les gaspillages, la méthodes des zéros complète le toyotisme.
A l'origine, cette méthode était celle des 3 zéros (0 défaut, 0 délai, 0 stock). Depuis de nombreux "autres zéros" sont venu enrichir cette méthode, à tel point que la méthode des zéros n'est toujours pas figée...
titre d'exemple citons les éléments les "principaux zéros":
- 0 défaut
- 0 délai
- 0 stock
- 0 conflit
- 0 accident
- 0 papier
- 0 pollution
Source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

le cross docking

Le cross docking est un type de préparation de commandes permettant de se passer des phases de stockage des produits en entrepôt et du picking.
Les colis sont regroupés par commande sur une plate-forme où ils ne font que transiter. Ils passent donc du transport amont au transport aval dans un délai très court.
Grâce au temps économisé en se passant du stockage, cette méthode de préparation des commandes est donc particulièrement utile pour traiter les commandes à priorité élevée, ce qui peut être le cas de produits tels que les produits frais, la presse quotidienne, les produits évènementiels, etc
Elle nécessite cependant une organisation pointue avec le respect d'un ordonnancement des tâches de réception, expédition très précis. De même au niveau du système d'informations, il convient de s'assurer que cette opération est possible à traiter...

http://www.faq-logistique.com/AccueilMethodes.htm

Anonyme a dit…

le co-packing

Le co-packing est une opération de conditionnement consistant à regroupper des produits complémentaires (un lot de brosses à dents avec un dentifrice, un produit avec un échantillon) ou identiques ("3 paquets pour le prix de 2 !") lors de la préparation de commandes

http://www.faq-logistique.com/AccueilMethodes.htm

Anonyme a dit…

L’utilisation du PERT a permis de ramener la durée globale de réalisation du projet de 7 à 4 ans. Cette méthode s’est ensuite étendue à l’industrie américaine puis à l’industrie occidentale.
Le PERT est « une méthode consistant à mettre en ordre sous forme de réseau plusieurs tâches qui grâce à leur dépendance et à leur chronologie concourent toutes à l'obtention d'un produit fini ».
La méthode PERT est le plus souvent synonyme de gestion de projet importants et à long terme. C’est pourquoi, un certain nombre d’actions sont nécessaires pour réussir sa mise en oeuvre.
1. Définir de manière très précise le projet d’ordonnancement.
2. Définir un responsable de projet, auquel on rendra compte et qui prendra les décisions importantes.
3. Analyser le projet par grands groupes de tâches, puis détailler certaines tâches si besoin est.
4. Définir très précisément les tâches et déterminer leur durée.
5. Rechercher les coûts correspondant ce qui peut éventuellement remettre en cause certaines tâches.
6. Effectuer des contrôles périodiques pour vérifier que le système ne dérive pas.


http://www.logistiqueconseil.org/Fiches/Logistique/Pert.pdf

BIGNON Eva a dit…

Méthode : Crossdocking
Le Crossdocking vise à limiter le stockage grâce à la synchronisation entre la demande des clients et les livraisons des fournisseurs. Cette méthode est utilisée par les plates-formes d’éclatement, les centres de distribution où les produits sont stockés moins d’une journée dans l’entreprise. Cette méthode est très utilisée pour les marchandises en rupture de stock, les produits destinés à un réseau de distribution (pièces de rechanges, prêt à porté) ou encore pour les produits soumis à une péremption rapide. Le Crossdocking doit se faire avec une procédure d'"assurance qualité" car la réception/réexpédition d’un produit doit se faire en pleine confiance.

Source: www.faq-logistique.com

Anonyme a dit…

La méthode ABC

La méthode ABC est une méthode consistant à classer un référentiel par ordre décroissant des sorties.
On se base sur l'idée communément admise qu'environ 20% des références représentent 80% des ventes ! Lors d'une analyse il est donc primordial de s'attaquer en priorité à ces références (le groupe A).
On divise donc le référentiel en trois groupes :
- le groupe A est composé des références constituant 80% des sorties (représentant généralement 20% des références),
- le groupe B est composé des références constituant 15% des sorties (représentant généralement 30% des références),
- et le groupe C est composé des références constituant 5% des sorties (représentant généralement 50% des références).

http://www.faq-logistique.com/AccueilMethodes.htm

Anonyme a dit…

Méthodologie de dimensionnement d'un picking

Pour déterminer la taille des zones de préparation de commandes, il faut :
- Déterminer par référence le volume (m3) consommé par jour
- Pour chaque type de stockage, déterminer le nombre de colis qu'il est possible de stocker, leurs dimensions et leurs volumes unitaires
- Affecter les références aux contenants en fonction des couvertures de stocks souhaitées (nombre de jours de consommation moyen que le stock peut couvrir).

Couverture de stocks = stock / consommation moyenne
- Affecter les alvéoles aux types de stockage nécessaires

http://www.faq-logistique.com/AccueilMethodes.htm

Anonyme a dit…

Le WMS (warehouse Managemant system)

Ces outils réduisent et optimisent les délais de traitement des flux entrants et sortants de l'entrepôt.

Planification et optimisation des réceptions,anticipation des réceptions fournisseurs,affectation automatique des quais de réception,aide au contrôle lors du déchargement, liste prévisionnelle à valider,validation des réceptions, validation des mises en stock.

Pilotage de l'activité des caristes via des systèmes embarqués et validation des mouvements en temps réel évitant les déphasages et les désynchronisatytion de stocks

Préparation de commandes selon le mode choisi avec possibilité de coupler préparation et plan de transport. découplage pour la préparation des commandes en palette complète et des colis individuels.

Gestion des préparations de kit,préparation des opérations de transport et réintégration des informations de livraison en provenance des points livrés.

Optimisation des capacités de stockage et des emplacements.

Gestion de différents statuts de stock; disponible, bloqué pour contrôle technique ou contrôle qualité, retour à réintégrer, rebut,...
http://www.cat-logistique.com/systemes_d'informations_logistique.htm

Anonyme a dit…

le TMS (Transport Management System)

Réduction des coûts et des délais du transport, par une optimisation des circuits et systèmes de distribution.
Suivi en temps réel des camions et des chargements pour pouvoir renseigner les clients sur les horaires de livraison.

http://www.cat-logistique.com/systemes_d'informations_logistique.htm

Anonyme a dit…

La gestion des commandes ou AOM (Advanced Order Management)

L'objectif de ces outils est de personnaliser le traitement de commandes en fonction de règles: livraison directe fournisseur ou livraison depuis l'un des entrepôt du système logistique en place. Livraison depuis l'entrepôt régional ou livraison depuis n'importe quel entrepôt du territoire ayant des stocks,livraison depuis un autre entrepôt ou navette inter entrepôts pour réapprovisionner chaque site..

Déclenchement en automatique ou proposition de réapprovisionnement faite au responsable du magasin. Règles de réapprovisionnement automatique de certains clients à fréquence mensuelle.
http://www.cat-logistique.com/systemes_d'informations_logistique.htm

Anonyme a dit…

PROGRAMME DIRECTEUR DE PRODUCTION
(PDP)

Il prend en compte les prévisions, le Plan Industriel et Commercial, le portefeuille des commandes, les disponibilités des matières et ressources, les objectifs du management, pour fixer le cadre de référence de la Production sur une période donnée.

mail:agrojob.com

BIGNON Eva a dit…

ENTREPOSAGE :
prestation qui requiert de la part du ?e-logisticien? la gestion d'un dépôt, magasin ou entrepôt dans lequel les marchandises seront stockées. L'emplacement de l'entrepôt est important car cela aura un impact sur le délai d'acheminement et sur le coût du transport. Il est en général préférable que l'entrepôt soit localisé au barycentre de son périmètre de distribution. L'entrepôt doit être équipé d'un système informatique

Source: www.agrojob.com

BIGNON Eva a dit…

MRP :
Materials Requirements Planning; Ensemble de techniques de gestion de production et d'approvisionnements assurant le calcul des besoins nets à capacité infinie. Il est vu essentiellement comme une technique de planification destinée à établir et maintenir des dates d?exigibilité correctes.Voir Calcul des besoins nets.

Source: www.agrojob.com

Anonyme a dit…

Méthode ABM (Activity Based Management)

La méthode ABM analyse les différents coûts résultants d'une mesure ABC afin d'en déterminer les causes et mener ainsi les actions d’optimisation nécessaires. Les processus sont classés en activités principales, secondaires et répétitives elles-même identifiées selon leur valeur ajoutée. L'ABC/M est utilisée entre autres comme aide décisionnel pour estimer l’opportunité d’externaliser ou de sous-traiter une activité ou une prestation. Elle permet également de réorganiser les processus métiers (Reengineering).

http://costkiller.net/methodo/costkiller.methode.abm.htm

Anonyme a dit…

la méthode MBF

La méthode MBF (Maintenance Basée sur la Fiabilité) trouve son origine dans la RCM (Reliability Centered Maintenance) développée au cours des années 60 dans le domaine de l’aéronautique.
La MBF, lors de ces dernières décennies, a fait l’objet de diverses déclinaisons dont l’OMF (Optimisation de la Maintenance par la Fiabilité) appliquée à la production nucléaire d’électricité.
La MBF vise à faciliter les choix de maintenance, au travers d’une démarche structurée, par la prise en compte :
des conséquences des défaillances,
des types de maintenance et des techniques associées applicables,
des coûts de maintenance et des coûts des défaillances.
La MBF est un véritable outil de conception de la maintenance préventive ; elle évite les choix subjectifs, elle permet de retenir les meilleures solutions de maintenance préventive en conciliant le double enjeux disponibilité/coût global de possession des installations

Anonyme a dit…

Advanced Quality Planning (AQP) ; C'est un moyen systématique utilisé pour suivre la réalisation d'un produit et d'un procéss. L'AQP inclut les concepts de prévention des erreurs et de l'amélioration continue; il est utilisé dans une approche pluri-disciplinaire

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

BIGNON Eva a dit…

PLANIFICATION SOUS CONTRAINTES (CONSTRAINT BASED PLANNING CBP) : Méthode et techniques permettant de planifier, à capacités finies et réalistes (parce que suivies et mesurées) ou sous contraintes (délai, objectifs de marge, disponibilité des ressources), l?ensemble des activités opérationnelles sur des horizons court terme mais également sur les niveaux tactiques et stratégiques de la Supply Chain. Ceci peut s?appliquer aussi bien au niveau de l?ordonnancement court terme de production que sur la modélisation/optimisation de réseau logistique (couche stratégique).

Source: www.agrojob.com

Anonyme a dit…

A vérifier je suis pas sure de moi....

Application Programming Interface
Ensemble de commandes externes publiées par un éditeur et permettant de recourir aux fonctions d'un logiciel depuis un autre logiciel.

Lionel Lumbroso , 01net., le 30/08/2002 à 19h50

Sigle d'Application Programming Interface. L'API est un concept contemporain de la programmation d'applications modulaires (précurseur de la programmation orientée objet ). Dans ce cadre, en effet, chaque fonction d'un programme est partiellement autonome dans la mesure où elle n'agit sur aucun autre module fonctionnel ou variable " globale " du programme ; on l'appelle en lui fournissant des paramètres en entrée et elle s'achève à l'aide de paramètres en sortie.

Il s'ensuit que même une application totalement extérieure audit programme peut " appeler " l'une de ses fonctions puisque son exécution ne dépend que de paramètres qu'on lui donne.

Chaque " point d'entrée " de l'API d'un programme décrit précisément cela : le mot code à utiliser pour solliciter telle fonction et les paramètres à passer à cette fonction pour qu'elle puisse opérer.

Exemple : supposons que l'éditeur d'un programme utilitaire de compression publie une API de son programme et qu'il se contente d'offrir uniquement les fonctions de compression et de décompression de fichier. Son API pourra consister en deux appels (ici fictifs) :

compress (nom_du_fichier|nom-du-dossier, taux_compression, [nom_fichier_compressé])

decompress (nom_du_fichier, [dossier_cible])

Ainsi, à condition que ce programme soit actif sur une machine, on pourra écrire un autre programme faisant appel à ses services avec cette API.

Désignations équivalentes : API - Application Programming Interface
http://www.01net.com/editorial/191407/application-programming-interface/

Anonyme a dit…

Les APS (Advanced Planning and Scheduling Systems) sont liés aux processus de gestion de production et plus particulièrement à l’allocation des composants et à l’affectation des capacités de production de manière à optimiser la satisfaction de la demande.


Ce sont des applications qui ont pour objet l’optimisation de la chaîne logistique depuis la prévision de la demande jusqu'au transport final en passant par la planification de la production et des approvisionnements.

Les méthodes traditionnelles de planification et de gestion des moyens de fabrication fonctionnent « par étape » pour affecter les moyens et les ressources. L’inconvénient majeur de ces méthodes est leur rigidité face aux évolutions de la demande, des capacités et de la disponibilité des ressources.

Elles ne prennent pas en compte les contraintes de type : limite de capacité, indisponibilités, etc.

Les APS organisent la production en fonction de ces contraintes de disponibilité et de capacité pour adapter l’utilisation des ressources et définir des plannings de production.

Le champ d’action des APS inclue, la demande, les approvisionnements, la production, le stockage et la distribution.


L’optimisation est donc globale en jouant sur l’ensemble de ces domaines plutôt que de chercher à optimiser chaque processus de manière indépendante.

http://www.run-supplychain.com/APS.htm

BIGNON Eva a dit…

MAîTRISE STATISTIQUE DES PROCESSUS :
méthode de gestion de production et d'approvisionnements assurant le calcul des besoins nets à capacité infinie ainsi qu'une mise en évidence des besoins capacitaires.

Source: www.agrojob.com

Anonyme a dit…

Boucles causales - Pensée systémique

Définition : Visualiser, sous forme de boucles causales, l'interdépendance des éléments de décision et faire ressortir les éléments critiques sur lesquels il faut agir.
Cette technique permet d'apprivoiser des phénomènes complexes selon une approche systémique plutôt que l'approche linéaire «causes-effet» habituelle.
Source : qualiteonline.com

Anonyme a dit…

Boîte à moustaches

Définition : Représenter simplement les éléments clés de la distribution d'une ou de plusieurs séries de données. Le graphique ressemble à une boîte de laquelle sortent deux lignes, d'où son appellation.
Il met en évidence les valeurs minimale, médiane et maximale ainsi que le premier et le troisième quartile de chacune des séries de données. Il est alors possible de comparer visuellement plusieurs distributions.
Source : qualiteonline.com

Anonyme a dit…

CDLA (centre de distribution logistiques automatisés) Les Centres de distribution logistiques automatisés (CDLA) correspondent à des offres globales de produits et de services contribuant à la logistique. Ces services articulent la conception et la réalisation d'entrepôts, les équipements de manutention et de stockage, les systèmes de gestion automatisés et l'ingénierie logistique correspondants. Ils peuvent aller jusqu'à la mise en place du système de pilotage des installations et la formation du personnel.
http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Une carte de contrôle
C'est un outil permettant de determiner le moment où apparaît la cause assignable entraînant la dérive. Ainsi, le processus sera arrêté au bon moment, c’est-à-dire avant qu'il ne produise des pièces non conformes (hors de l'intervalle de Tolérance).

Les cartes de contrôle les plus utilisées sont les cartes de contrôle par mesure de la moyenne et de l'étendue. Ces cartes sont établies ensemble et interprétées ensemble. En effet, la distribution des dimensions fabriquées modélisée par une loi Normale est caractérisée par la moyenne et la dispersion (écart type).

Source : MIL

Anonyme a dit…

Soutien Logistique Intégré

Ensemble de techniques visant à définir le système de soutien qui sera associé au système principal. Le but du système de soutien est d'assurer au système principal sa disponibilité opérationnelle.

Source : Wikipédia

Anonyme a dit…

COLLABORATIVE PLANNING AND FORECASTING REPLENISHMENT (CPFR) Marque déposée par le VICS (Voluntary Interindustry Commerce Standards) en 1996 désignant une démarche de collaboration et d'intégration des processus de prévision et de planification entre clients et fournisseurs. Cette démarche intègre aussi le flux d'information de l'amont vers l'aval afin de prendre en compte les contraintes industrielles.

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Chemin de préparation Itinéraire physique de préparation de commandes organisé afin de limiter les mouvements des préparateurs, de réduire le risque d'erreur et de fluidifier l'ensemble des déplacements au sein de la zone de préparation

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

METHODE DE WILSON

Par une méthode mathématique et graphique (méthode de Wilson) , on peut établir le nombre optimal de commandes à effectuer.
2 séries de coûts sont liés au stock :
- coût de passation des commandes
- coût de possession (stockage, manutention, assurance, personnel…)
L'analyse de ces 2 séries de coûts, et du coût total qui en résulte, permet de déterminer le nombre optimal de commandes.

Anonyme a dit…

Dernier entré, premier sorti – LIFO (Last In, First Out) : Règle de gestion de stockage dans laquelle on fait sortir en premier ce qui est rentré le plus tard

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Le Life Cycle Cost (LCC)

C'est un outil managérial qui permet de connaître le coût de production d’un produit pendant toute sa durée de vie depuis sa fabrication jusqu’au démontage.

Source: Wikipedia

Anonyme a dit…

Différenciation retardée Méthode de production qui consiste à standardiser au maximum les opérations de fabrication (pour réduire les coûts unitaires de production, le volume des stocks et des en-cours en différant le plus tard possible dans le processus des éléments possibles de différenciation des produits. Lorsque ces opérations de différenciation du produit sont confiées à un prestataire de services logistiques on parle alors de post-manufacturing.

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

DRP Distribution Ressources Planning ou Planification des ressources de distribution Méthode qui permet de déterminer par le calcul, pour un réseau de distribution et pour une période donnée, les quantités à approvisionner par référence (par anticipation de la demande), et de définir, sur cette base, les ressources logistiques et financières nécessaires

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

TACK TIME :

Durée qui représente le temps moyen entre 2 demandes unitaires des clients, c'est à dire la durée (ou durée ouvrée) d'une période divisée par la quantité demandée pendant cette période.

Source: www.agrojob.com/dictionnaire/

Anonyme a dit…

e-procurement: gestion administrative des achats de l'entreprise, lorsqu'elle recourt de diverses façons au commerce électronique sur Internet, aux services d'appels d'offres en ligne, aux places de marché virtuelles, etc. le "e-procurement" est une source importante de bénéfices et de réduction des frais administratifs.

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

e-sourcing :stratégie d'achat de l'entreprise. qui consiste à sélectionner les fournisseurs, éventuellement à contractualiser via internet

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Échange de Formulaire informatisé (EFI) Solution informatique visant à rendre la technologie EDI plus accessible aux PME/ PMI non équipées de station EDI . La station EFI émet et reçoit des messages EDI via Internet et convertit ces données codifiées en formulaires

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Eco-Logistique ou ecologistique Démarche de réduction des pollutions et nuisances es environnementales générées par la réalisation des activités logistiques tout au long de la chaîne logistique. Intégrant les préoccupations écologiques et de développement durable, les actions pionnières d'éco-logistiques ont été conduites dans le cadre de la logistique inversée avant d'être étendues au transport (choix de modes de transport, taux de remplissage., puis à l'ensemble des activités depuis la conception (emballages...).

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

FIFO -FIRST IN, FIRST OUT , PREMIER ENTRÉ PREMIER SORTI Méthode physique ou méthode de valorisation comptable des sorties de stocks qui consiste à extraire les articles dans l'ordre où ils sont entrés.

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Anonyme a dit…

Flux tendus Modèle de pilotage en flux tirés dans lequel les quantités produites correspondent au plus juste à la demande du marché. Le Juste-à-Temps* est un modèle de pilotage en flux "hyper-tendus "

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Anonyme a dit…

Flux tirés Modèle de pilotage des flux qui consiste à déterminer les quantités à produire ou à assembler à partir de la demande (commandes fermes) de manière à la satisfaire immédiatement. Les flux tirés, dont l'objectif principal est de supprimer les coûts engendrés par la possession de stocks à tous les niveaux de la chaîne logistique, peuvent être plus ou moins tendus en fonction de la marge de sécurité fixée par l'entreprise.

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Anonyme a dit…

Réingénierie (Re-engineering)

Démarche visant à restructurer et améliorer les performances d’une entreprise en remettant à plat l'ensemble de ses processus. Cette démarche s'oppose à celle du Kaizen.

Source : swisstools.net

Anonyme a dit…

Flux synchrones Modèle de pilotage des flux qui consiste à coordonner l'approvisionnement des différents composants (provenant éventuellement de différents fournisseurs) selon leur ordre d'utilisation sur la chaîne de production. Ce modèle de gestion, utilisé notamment dans l'industrie automobile, permet de livrer au dernier moment les quantités justes nécessaires aux différents postes de travail.

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Anonyme a dit…

Pyramide du CIM (Computer Integrated Manufacturing)

Représentation comportant 4 niveaux auxquels correspondent des niveaux de décision. Plus on s'élève dans la Pyramide du CIM, plus le niveau de décision est important et la visibilité globale et plus les cycles standards s'allongent.

Un niveau supérieur décide ce qu'un niveau inférieur exécute.

Ainsi, sont concernés :

au niveau 3 : la gestion des produits et des stocks, la gestion des approvisionnements, la gestion des clients, des commandes et de la facturation (gérés par les ERP)

au niveau 2 : la localisation des produits en stocks, les mouvements physiques et la gestion des lots (géré par le système de gestion d'entrepôt)

au niveau 1 : les automatismes

au niveau 0 : les capteurs et actionneurs.

Anonyme a dit…

Gestion de magasin (Warehouse management) : La gestion de magasin a pour rôle de mettre en œuvre les principes décidés par le gestionnaire de stock en optimisant les flux physiques correspondant à l'intérieur du magasin. La gestion du magasin correspond au niveau N 2 dans la pyramide du CIM. Elle répond aux questions
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Anonyme a dit…

Gestion de Projet Ensemble d'activités coordonnées et maîtrisées comportant des dates de début et de fin, entrepris dans le but d'atteindre un objectif conforme à des exigences spé­cifiques. (Norme X50-115 AFNOR (2002). La gestion de projet implique, de la part du chef de projet, le pilotage des activi­tés réalisées par des expertises professionnelles différentes et complémentaires les unes des autres

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Anonyme a dit…

GMA Gestion mutualisé des approvisionnements Mode de gestion des approvisionnements dans lequel plusieurs industriels s'engagent à livrer ensemble, à partir d'un même site logistique (entrepôt ou plate-forme), un ou plusieurs industriels ou distributeurs afin notamment d'optimiser les coûts de stockage (réduction du nombre de lieux de stockage dans la chaîne industrie distributeurs) et de transport (taux de remplissage des véhicules et nombre rotations). Les flux des industriels sont généralement massifiés sur le site d'un prestataire de service logistique qui prend en charge l'organisation des tournées de livraison à destination du ou des distributeurs.. Dans le secteur automobile les MAF Magasin Avancé Fournisseur proches des usines jouent également ce rôle tampon pour approvisionner les chaînes de montage en synchrone avec les produits de plusieurs fournisseurs

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Anonyme a dit…

Groupage : Opération par laquelle des colis, provenant de plusieurs expéditeurs, sont réunis en un lot unique en vue de leur transport.

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Anonyme a dit…

Hub : Mot anglais signifiant « moyeu », utilisé pour désigner un lieu où convergent les trafics. En français (lorsqu'il s'agit de marchandises) : plate forme logistique. Infrastructure logistique vers laquelle sont acheminés puis triés des flux produits ou de passagers de provenances diverses afin de les regrouper et de ré-expédier vers d'autres destinations. Au travers de la massification et de synchronisation des flux, le hub permet une utilisation optimale des moyens transport.

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Anonyme a dit…

Compiere (se dit kompjere)

C'est un Progiciel de gestion intégré (PGI) et Gestion de la relation client (GRC) en open source pour les Petites et moyennes entreprises (PME) dans la distribution et le service.

L'application est fournie sous double licence GPL et propriétaire.
Les sources peuvent être adaptés aux besoins du client. Le support technique et la documentation sont payants.

Source : Wikipedia

Anonyme a dit…

IDENTIFICATION PAR RADIO FRÉQUENCE RFID (RADIO FREQUENCY IDENTIFICATION) Technologie permettant de collecter et stocker des données à distance. Le système se compose :
• de marqueurs miniaturisés (« tags » ou étiquettes) composés d'une antenne et ., d'une puce électronique inclues dans un « contenant » (capsules...).
• d'un lecteur : dispositif d'émission/réception qui déclenche les marqueurs à courte distance. Les fréquences d'émission sont variables, plus elles sont élevées, plus l'échange d'information bénéficie de débits importants.
Les marqueurs, activés sur une fréquence déterminée par le lecteur, traitent le signal reçu et répondent alors à la demande (par exemple, renvoi d'une identification numérique permettant de contrôler et compter les unités logistiques lors de la réception).

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Anonyme a dit…

Inventaire cyclique: Inventaire physique du stock, effectué de façon répétitive à des intervalles de temps déterminés afin de corriger les erreurs affectant l'inventaire permanent.

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Anonyme a dit…

Inventaire physique : Contrôle visuel permettant de connaître le nombre exact d'articles en magasin ainsi que leurs emplacements.

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Anonyme a dit…

Inventaire permanent ou inventaire tournant: Inventaire réalisé via la tenue informatique de l'état des stocks en temps réel.
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Anonyme a dit…

Le nearshoring

Par opposition au offshoring, le nearshoring est le fait de délocaliser une activité économique dans une autre région du même pays.

Source : Wikipedia

Anonyme a dit…

Livraison juste à temps : Technique qui permet aux biens d’arriver sur le site précisément au moment où ils sont nécessaires, ce qui permet de réduire les niveaux de stock et par là même les investissements et frais qui y sont rattaché

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Anonyme a dit…

Le WBS (le Work Breakdown Structure ou Le découpage du projet en tâches)

Le WBS a pour but d’aider à organiser le projet, à établir la planification de référence et le budget prévisionnel. Il permet également de déléguer et de contractualiser la mission confiée à chaque acteur.

Source : Wikipedia

Anonyme a dit…

MAF Magasin Avancé Fournisseur Utilisé par le secteur automobile, magasin extérieur à l'usine mais très proche assurant le stockage des produits de plusieurs fournisseurs et capable de préparer les produits apellés en synchrone et de les livrer en bord de chaîne en moins de 2 à 3 heures selon les cas. Utilisé pour les boucliers, les sièges, les pneumatiques, les tapis de sol, ...

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Anonyme a dit…

Logistique inversée , Reverse logistique Processus qui a pour objet d'assurer les retours de marchandises :
• demandés par les consommateurs pour cause d'erreurs ou de problème; techniques impliquant réparation ;
• mis en place par l'entreprise pour assurer le recyclage, l'élimination ou la valorisation (sur un marché de l'occasion, par exemple pour certains produit manufacturés) des produits en fin de vie.

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Anonyme a dit…

Massification : Action de regrouper des chargements devant emprunter le même parcours afin de diminuer le coût moyen d'acheminement ou de rendre possible l'utilisation de modes de transport massifs (fluvial ou trains complets).

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Anonyme a dit…

Market place , Place de marché électronique, Plate-forme de communication électronique permettant à des entreprises de communiquer avec leurs partenaires (fournisseurs, distributeurs) en vue notamment d'accroître leurs transactions commerciales et d'en optimiser la performance économique.
On distingue généralement trois types de places de marché électroniques :
les places de marché dites "verticales" qui peuvent réunir l'ensemble d acteurs d'une filière (par exemple, les producteurs, distributeurs et intermédiaires de l'agro-alimentaire, du textile, de la chimie...) ;
les places de marché dites "horizontales" qui peuvent regrouper des entrepris situées à un même niveau de la chaîne de création de valeur et appartenant un même secteur d'activité (par exemple, l'ensemble des distributeurs) ;
les places de marché qualifiées de "transversales" ou "publiques" auxquels peuvent adhérer tout type d'entreprises quel que soit leur secteur d'activité (exemple, une place de marché regroupant des entreprises spécialisées
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Anonyme a dit…

Logistique de production Ensemble des activités qui ont pour objectif d'assurer la mise à disposition dans les délais souhaités par les différentes unités de production et/ou d'assemblage des références et quantités voulues de matières premières et en-cours de production dans les meilleures conditions de coût. La réalisation de ce processus implique la définition de règles de gestion (modèle de pilotage des flux, gestion "des stocks d'en-cours de production, système de convoyage et de manutention, gestion du transport entre les sites de stockage et les unités de production...).

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Logistique de distribution Ensemble des activités qui ont pour objectif d'assurer la mise à disposition dans les délais souhaités par le client et/ou le consommateur final des référence; quantités voulues de produits finis (informations contenues dans le DRP) dans les meilleures conditions de coût. La réalisation de ce processus implique la définition d'une politique de distribution (méthode de gestion des stocks de produits finis, délais de livraison, gestion du transport en aval, sous-traitance à des prestataires de services logistiques...)
http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Logistique d'approvisionnement Ensemble des activités qui ont pour objectif d'assurer la mise à disposition de les délais souhaités par l'entreprise des références et quantités voulues de matières premières, produits semi-finis, équipements... (informations contenues dans Programme Directeur des Approvisionnements*) dans les meilleures conditions de coût. La réalisation de ce processus implique la définition d'une politique d'approvisionnement (méthode de gestion des approvisionnements, délais livraison, gestion du transport en amont, établissement d'un réseau de fournisseurs, système d'information ..).

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

MULTIDROP Organisation de la livraison par un producteur de plusieurs centres de distribution ou points de vente appartenant au même distributeur (Multidrop mono producteur /mono-distributeur) ou de plusieurs centres de distribution ou point de vente de distributeurs différents (Multidrop mono-producteur / multi-distribu teurs) qui a pour objectif l'amélioration du taux de remplissage des véhicule pour réduire le coût de transport.

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

la logistique de soutien. Elle en décrit les différentes activités, les objectifs et les moyens à mettre en œuvre pour en assurer la réalisation. Elle offre aux fournisseurs de prestations de soutien logistique et leurs clients, une approche contractuelle pour concevoir ensemble la prestation et définir les moyens associés.
http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Ordonnancement:Technique de contrôle de la production dont le but est de permettre la réalisation du programme de production selon les délais établis, au coût minimal. Il se caractérise par la sélection, le séquencement et l'affectation des opérateurs à des tâches à réaliser sur des postes de travail individuels
http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Optimisation de tournées recherche d'un optimum économique du fait de contraintes

Les données d'un problème de tournées de livraison ou d'un problème de tournées de véhicules (PTV) sont généralement simples à poser:
- des livraisons à effectuer: colis, palettes, voitures, animaux vivants, ...
- le cas échéant des collectes à réaliser: palettes, rolls, colis ,...
- une flotte de véhicules propre et/ou sous traitée avec des contraintes de volumes, de poids, de temps, de disponibilité, de localisation, ...
- des chauffeurs qui doivent respecter des temps horaires, des pauses obligatoires, ...
- un ou plusieurs entrepôts,
- un départ depuis les entrepôts ou depuis le domicile du chauffeur, un retour à l'identique,
- une possibilité de recharger dans un entrepôt ou un autre,
- des plages d'ouverture d'entrepôt,
- des temps de chargement et de déchargement des marchandises à distribuer ou à collecter à l'entrepôt et chez les clients, des clients chez qui il est nécessaire de passer plus de temps que chez d'autres
- des heures d'ouverture des clients, des jours de fermeture,
- des heures ou des plages d'heures impératives fixées par les clients pour livrer ou collecter les marchandises,
- des incompatibilités de véhicule chez certains clients,
- le fait que le chauffeur, ambassadeur de l'entreprise, voit éventuellement toujours les mêmes clients,
- la difficulté à mixer les opérations de distribution et de collecte et donc l'exigence de ne collecter qu'à partir d'un certain volume disponible dans le camion ou de collecter une fois toutes les livraisons effectuées,
- la nécessité d'optimiser les coûts, l'utilisation des véhicules, les temps de travail et de respecter les engagements pris avec les clients.
- des livraisons avec des ordres de priorité par rapport à d'autres

Voilà dans les grandes lignes les contraintes classiques posées dans ce type de problème d'optimisation des tournées

Il y a des cas encore plus complexes avec la nécessité de prendre en compte le compartimentage variable des camions ( Livraisons de fluides par exemple)

Le camion peut partir d'un premier entrepôt et aller décharger et recharger à l'entrepôt le plus proche de son dernier point de distribution ou de collecte.( collecte de déchets par exemple)

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Picking Opération qui consiste à prélever, à leur emplacement dans le stock "picking" les différents éléments (palettes, colis ou unités de vente consommateur) d'urne commande.

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Advanced Product Quality Planning (APQP): est un cadre de qualité utilisés pour développer de nouveaux produits dans l'industrie automobile. Elle peut s'appliquer à toute l'industrie et est semblable à bien des égards à la notion de conception pour six sigma Décompte (DFSS). Le APQP processus est décrit dans AIAG manuel 810-358-3003. " Son but est "d'élaborer un plan de la qualité des produits qui soutiennent le développement d'un produit ou service qui satisfera le client." Il le fait en mettant l'accent sur:

- la planification de la qualité
- Evaluation de la production afin de déterminer si les clients sont satisfaits et soutenir l'amélioration continue
L'Advanced Product Quality Planning processus comporte quatre phases et cinq principales activités en cours ainsi que l'évaluation et la rétroaction des mesures correctives.

Anonyme a dit…

Plate-forme multimodale ou "chantier" : espace aménagé de manière à faciliter le transbordement de marchandises entre deux ou plusieurs modes de transport.
http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

La Commande Assistée par Ordinateur (CAO)

La commande assistée par ordinateur est un outil de calcul automatique des besoins nets qui est alimenté par les données des ventes enregistrées en magasin ou les sorties de produits en entrepôt, intégrant des paramètres de réapprovisionnement définis préalablement par les utilisateurs (saisonnalité, stock de sécurité, capacité linéaire, stock minimum, stock maximum, fréquence de calcul ...). Ce calcul est fait grâce à une application appelée le MRP.

Avantages de la CAO :

- Réduction des coûts de stockage sur toute la chaîne d'approvisionnement
- Diminution du taux de rupture en linéaire
- Diminution des coûts et erreurs liés au traitement des commandes
- Réduction des litiges commerciaux
- Libération du temps aux chefs de rayon au profit du servie au client

source: http://www.logistiqueconseil.org/Articles/Logistique/Gestion-collaborative.htm

Anonyme a dit…

Point de commande Niveau de stock à partir duquel un ordre de réapprovisionnement est passé. Ce niveau de stock correspond à la consommation moyenne du stock pendant le délai de réapprovisionnement à laquelle on ajoute le stock de sécurité.

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Point nodal : point de groupage / dégroupage de camions, de wagons ou de conteneurs, permettant de reconstituer des ensembles directs à partir d'éléments de différentes provenances

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

Préparation de commandes : Processus de regroupement des articles composant une commande avant leur expédition au client. Voir également :

Préparation de commandes assistées par ordinateur: Système informatique dans lequel un voyant s'allume à l'endroit du prélèvement.

Préparation en rafales Mode de préparation dans lequel un ordre de préparation comprend plusieurs commandes client à traiter simultanément. Ces commandes, prises en charge par un préparateur, sont dispatchées sur la base de différents critères permettant de réduire le cycle de préparation : articles similaires, proximité physique des articles à prélever

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Anonyme a dit…

Prestataire logistique (Logistics Service Provider) : Acteur logistique réalisant un certain nombre d'opération slogistiques pour le compte de son / ses Client(s)

Entreprise assurant la réalisation d'activités logistiques pour le compte d'un industriel ou d'un distributeur. Selon la complexité et le type d'opérations à valeur ajoutée réalisées par les prestataires logistiques, plusieurs catégories d'ac­teurs se dégagent :

• les prestataires logistiques classiques qui assurent l'exécution des opérations de logistique physique (transport et entreposage) et dont le système de gestion se limite au suivi de celle-ci pour le compte de l'entreprise cliente ;

• les prestataires logistiques à valeur ajoutée qui intègrent à l'offre du prestataire classique un certain nombre de services allant de la prise en charges d'opérations de manipulations complexes (co-manufacturing, co-packing), à la gestiorn d'opérations administratives (facturation, commandes) et de gestion de l'information (tracking-tracing...) ;

• les intégrateurs de services logistiques qui se caractérisent par la quasi-absence de moyens physiques propres et dont la spécificité est d'intégrer les prestation de différentes entreprises sous-traitantes (transport, entreposage, opérations valeur ajoutée...) et d'en assurer la cohérence et la gestion par la maîtrise de flux d'informations qui s'y rapportent.

Il est à noter que différentes appellations anglo-saxonnes caractérisent ces trois catégories. La première et la seconde sont fréquemment regroupées sous le terme de Third Party Logistics (3PL). La troisième correspond à la terminologie déposé par Accenture de Fourth Party Logistics (4PL). Enfin, même s'il reste assez rare ( très proche du 4PL, le nom de Fifth Party Logistics (5PL) est attribué à des prestataires de services logistiques qui conçoivent, organisent et réalisent pour le compte d'un donneur d'ordre, des solutions logistiques (notamment en matière de système d'information) en mobilisant les technologies adaptées.

http://www.cat-logistique.com/vocabulaire.htm

Anonyme a dit…

la méthode TGAO
cette méthode a pour objectif de classer les pièces selon leurs processus et d'aboutir à la définition de familles homogènes de pièces, quelles que soient leur destinations dans les produits finis.

Anonyme a dit…

PROGRAMME DIRECTEUR DES APPROVISIONNEMENTS OU PLANIFICATION EN BESOINS MATIÈRES (PBM) Planification à moyen terme des besoins en approvisionnement de l'entreprise indiquant pour chaque référence matière, composant ou produit semi-fini, les quantités et les délais en fonction des lancements de fabrication par l'entreprise.

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Anonyme a dit…

Intervalle de protection:
correspond à la période pendant laquelle le gestionnaire doit livrer les demandes directement à l'aide du stock disponible, en attendant les livraisons des commandes passées.Il faut donc calibrer le niveau de stock de sécurité par rapport à la demande pendant cette période.

Source: MIL

Anonyme a dit…

Quantité économique de commande Méthode de calcul, à partir de la demande future estimée pour une période donnée, de la taille d'un lot à lancer en fabrication ou à commander auprès d'un fournisseur. Sont pris en compte, pour calculer la quantité économique de commande, les coûts liés à la possession du stock, les coûts de passation de la commande, les coûts de rupture et les éventuelles conditions contenues dans le contrat d'approvisionnement comme les rabais liés à la taille des lots. L'objectif de cette méthode est de minimiser le coût global d'approvisionnement.

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Anonyme a dit…

Rafale (Wave) : Type de préparation de commandes dans lequel plusieurs commandes sont lancées en préparation en même temps. certaines entreprises lanncent leurs commandes en préparation par rafales

Ramasse (ou Ramassage ou collecte) : Tournée d'enlèvement de colis ou de produits précédant leur groupage.

Rack à accumulation dynamique Palettier composé de plusieurs rangées de stockage accolées (de deux à cinq en général) et dont les différentes travées, légèrement inclinées, sont équipées de systèmes permettant le déplacement des palettes (rails, rouleaux gravitaires...). Le stockage par accumulation est adapté aux produits stockés en grande quantité et à forte rotation.

Rack à double profondeur Palettier comprenant deux rangées de stockage en profondeur. Cette configuration de stockage implique le déplacement de la charge située à l'avant de la travée* pour atteindre celle située dans la seconde rangée ou permet de stocker, dans cette seconde rangée, les palettes destinées au réapprovisionnement de la zone picking située sur la première rangée.

Réapprovisionnement Démarche d'alimentation du stock déterminant quantité et date de commande. Les politiques classiques de réapprovisionnement sont au nombre de 4 : la gestion calendaire des stocks, la méthode de recomplètement, la méthode du point de commande, le réapprovisionnement à date et quantité variables

Réapprovisionnement du picking (Replenishment) : Opération consistant à sortir les quantités du stock réserve pour réalimenter les stocks picking.

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Anonyme a dit…

RFID (RADIO FREQUENCY IDENTIFICATION) IDENTIFICATION PAR RADIO FRÉQUENCE Technologie permettant de collecter et stocker des données à distance. Le système se compose :
• de marqueurs miniaturisés (« tags » ou étiquettes) composés d'une antenne et ., d'une puce électronique inclues dans un « contenant » (capsules...).
• d'un lecteur : dispositif d'émission/réception qui déclenche les marqueurs à courte distance. Les fréquences d'émission sont variables, plus elles sont élevées, plus l'échange d'information bénéficie de débits importants.
Les marqueurs, activés sur une fréquence déterminée par le lecteur, traitent le signal reçu et répondent alors à la demande (par exemple, renvoi d'une identification numérique permettant de contrôler et compter les unités logistiques lors de la réception).

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Anonyme a dit…

RECOR (flux RECOR) : Organisation du transport provoquant un ordre d'approvisionnement dès que les stocks courants tombent sous une certaine limite. Cf. KANBAN

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Anonyme a dit…

Rupture de charge : Interruption dans la chaîne d'acheminement des marchandises au moment du passage d'un mode à l'autre ou d'un véhicule à un autre Toute rupture de charge a un coût, en temps, en manutention voire de stockage intermédiaire ; c'est le principal handicap du transport combiné rail-route qui ne peut trouver de rentabilité sur des distances inférieures à 500km (bien que se justifiant pleinement pour le franchissement de seuils géographiques particuliers).

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Anonyme a dit…

La reverse logitics :
La logistique des retours concerne la gestion des flux du consommateur vers le producteur.
Ces flux peuvent avoir pour objet la gestion du Service Après Vente (SAV), le recyclage des déchets ou la gestion des invendus (en particulier dans la distribution de la presse par exemple).
Activité clé pour des secteurs comme la presse, le commerce électronique ou la vente par correspondance, les problématiques de protection de l’environnement exigent également une logistique inversée performante.
Il est nécessaire de distinguer deux types de retour :
- Le retour des produits …
- Le retour des emballages

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Anonyme a dit…

Solveur Les solveurs sont des logiciels basés sur des techniques mathématiques avancées , moteurs d'optimisation permettant notamment la prise en compte de nombreusess contraintes de la logistique.

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Anonyme a dit…

L'analyse multicritères : permet d'effectuer un choix entre plusiseurs solutions en décomposant une grille d'analyse en plusieurs critères chacun pondéré d'un coefficient (poids relatif).

On commence par identifier quels sont les critères surlesquels seront basés l'analyse, puis on effecte à chaque critère un coefficient selon son importance relative. Chaque solution envisagée est ensuite comparée en utilisant cette grille d'analyse multi-critères. En face de chaque critère retenu, on donne une note aux différentes solutions.

Cette note est ensuite pondérée en fonction du coefficient affecté au critère. A la fin des notations, une simple somme de l'ensemble des critères permet de connaître la meilleure solution.



La pondération des critères est donc prépondérante dans cette méthode, elle influe directement sur la qualité du choix effectué.

Anonyme a dit…

Standards de manutention de base (SMB) Méthode de calcul du temps de réalisation d'une opération logistique par un opérateur ou un engin de manutention. Cette méthode implique une décomposition des activités de manutention en tâches élémentaires (gestes et déplacements réalisés par un opérateur avec ou sans matériel de manutention) auxquelles correspondent des standards de temps ou temps moyens d'exécution (TOM) La somme de ces temps correspond au temps opératoire de base (TOB) à partir duquel est calculé le temps opératoire réel (TOR) qui prend en compte les difficultés ou ralentissements inhérents aux temps de parcours (indice de parcours ou de roulage), puis le temps d'exécution (TE) qui prend en considération la fatigue liée à la répétitivité des tâches réalisées (coefficient de fatigue). Un taux d'engagement des opérateurs permet alors de calculer le temps alloué (TA) à la réalisation d'un ensemble de tâches (TE / Taux d'engagement).

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Anonyme a dit…

Stock : Ensemble des matières premières, marchandises, fournitures, produits semi-ouvrés, produits finis, produits en cours, emballages, etc., qui appartiennent à une entreprise à une date donnée.

Stock disponible : Stock physique duquel sont retranchés les quantité en cours de blocage qualité ou de blocage pour tout autres raisons, les quantités affectées à des commandes non préparées, etc.

Stock actif Quantité de produits entrés à chaque livraison et intégralement consommés pendant la période.

Stock d'alerte Seuil (quantité) qui, lorsqu'il est atteint, doit entraîner la passation d'une commande.

Stock de masse Zone d'un entrepôt dans laquelle les marchandises sont stockées, après leur réception, avant d'être progressivement transférées, en fonction de la demande, vers le stock picking*.

Stock de sécurité Quantité destinée à pallier une accélération de la consommation et/ou un retard dans l'approvisionnement/production.

Stock Picking Zone d'un entrepôt dans laquelle les marchandises sont stockées en vue du picking, généralement une zone où la préhension des colis est plus facile

Stockage dynamique Palettier ou mobilier de stockage dont les étagères, légèrement inclinées, son munies de rouleaux permettant aux cartons et/ou palette d'avancer vers le préparateur. Ce système de stockage est utilisé de préférence pour les produits à forte rotation.

Stockage en silo Mode de stockage de produits dans des réservoirs clos généralement métallique ou en béton. Par analogie, le stockage en silo peut désigner des infrastructure d'entreposage de très grande hauteur équipées de transstockeurs

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Anonyme a dit…

SUPPLY CHAIN EXECUTION (SCE) Application informatique permettant l'intégration de l'ensemble des données relatives à la gestion opérationnelle des activités composant la chaîne logistique. Les progiciels de SCE se composent généralement de trois principales applica­tions informatiques de gestion interfacées : les TMS (Transport Management Systems), les WMS*(Warehousing Management Systems) et les AOM (Advanced Order Management).
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Anonyme a dit…

SUPPLY CHAIN PLANNING (SCP) Application informatique permettant de simuler et de planifier l'ensemble des processus de la chaîne logistique.

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Anonyme a dit…

Synchrone à valeur ajoutée : Opération de transport en flux synchrone dans laquelle le transporteur prend en charge la fourniture de services complémentaires, par exemple des contrôles de qualité ou la gestion des codes barres.

Système de Gestion d’Entrepôt (Warehouse Management System – WMS) : Système d’information de préparation, de suivi et d’exécution des activités en entrepôt de nature transactionnelle.

Système de logistique intégrée (Supply chain management system – SCM) : Logiciel qui permet de gérer de façon optimale la totalité des flux d'informations et physiques et des interfaces entre les différents acteurs, producteurs et fournisseurs qu'impliquent la fabrication d'un produit ou l'offre d'un service, à partir des renseignements concernant la demande jusqu'aux données nécessaires à la distribution, en passant par la conception et la production. Souvent, le système de gestion de la chaîne logistique se greffe au progiciel de gestion intégrée d'une entreprise et aux logiciels GPAO (gestion de la production assistée par ordinateur) qu'elle utilise.

Système de pilotage des activités en entrepôt (Warehouse Control System – WCS) : Ensemble des transactions et données du système d’information qui supporte la supervision d’activités en entrepôt (sur la réalisation des opérations, la qualité de l’affectation et de l’utilisation des ressources, les consommations budgétaires). C’est un système à caractère décisionnel.

Systèmes de planification avancée (Advanced Planning System – APS) : Systèmes de planification de l’ensemble des flux de l’entreprise (matières, informations et financiers) qui synchronisent et optimisent les activités et leurs interfaces, de façon globale et collaborative, en fonction d’objectifs de taux de service client et de marges sur les activités


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Tableau de bord logistique Instrument de gestion dynamique et d'établissement rapide, regroupant un ensemble d'indicateurs quantitatifs (financiers et non financiers) et qualitatifs, permettant à un responsable logistique de suivre et de contrôler la réalisation de; points clés qu'il souhaite maîtriser et de mettre en œuvre, le cas échéant, des actions correctrices à court terme.

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Anonyme a dit…

Taux de service logistique Indicateur de la performance d'une activité ou d'un processus logistique permet tant d'appréhender le degré de réalisation des objectifs logistiques fixés. Le taux de service logistique est en général calculé sur la base du nombre de commandes (parfois sur un pourcentage de chiffre d'affaires) livrées conformes au: attentes du client et/ou du consommateur final au bon moment et dans les délais sur le nombre total de commandes à réaliser.

Taux de traitement des commandes : Pourcentage de commandes traitées par les préposés aux commandes au cours d’une période donnée.

Temps d'écoulement Mesure de différentiel de temps (entrée/sortie). Cet indicateur peut être appliqué à différents niveaux du processus logistique, par exemple pour mesurer le temps effectif écoulé entre la prise de commande et la livraison d'un produit.

TOTAL QUALITY MANAGEMENT (TQM) Démarche de gestion des ressources humaines, financières, physiques et technologiques de l'entreprise fondée sur des pratiques et des méthodes qualité et visant la satisfaction des différentes parties prenantes (clients, actionnaires, salariés...).

Traçabilité Capacité à suivre un produit ou service de sa conception à sa fin de vie. La traçabilité renvoie au tracking : localisation en temps réel de l'entité dans la chaîne logistique ; au tracing : possibilité d'obtenir des informations à un moment quelconque par la constitution d'une mémoire du flux (temps différé).

Transport management system (TMS) Application informatique, composante des progiciels de SCE, qui a pour vocation l'optimisation de l'organisation et du coût des tournées de transport.

Transbordement (Cross docking) : Action de faire passer des marchandises des quais d'arrivée aux quais de départs, sans passage par le stock.

VMI (Vendor Managed Inventory) ou SMI (Supllier Management Inventory) est un business modèle de relations industrielles (formalisé par un contrat) où une entreprise acheteuse diffuse régulièrement des informations à son fournisseur sur ses prévisions de consommation et ses consommations réelles et où, en contrepartie d’une relation stabilisée, le fournisseur est pleinement responsable du niveau de stock mis à la disposition de son client. Le client ne passe plus de commande mais va directement se servir dans le stock du fournisseur géré le plus souvent par un third party logistics. Dans ce modèle, la charge du stock est déportée vers fournisseur

WorkFlow Terme générique désignant les logiciels permettant la gestion d'un processus (un workflow de production par exemple).

WorkFlow Terme générique désignant les logiciels permettant la gestion d'un processus (un workflow de production par exemple).

WorkFlow Terme générique désignant les logiciels permettant la gestion d'un processus (un workflow de production par exemple).

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Allotissement des commandes : Dans la technique du cross-docking sous sa forme "commande allotie", les livraisons sont préparées par le fournisseur, magasin par magasin. Chaque livraison magasin est palettisée individuellement. L'ensemble des livraison sont effectuées sur une plate-forme d'éclatement où les palettes par magasin sont triées pour être redistribuées dans chaque magasin.

APO : (Advanced Planner & Optimizer) Chez SAP, pierre angulaire de la solution MySap SCM permettant l'anticipation et la synchronisation de tous les processus à travers la totalité du réseau logistique.

ASP : (Application Service Provider) Mode qui vend du temps d'utilisation de certaines applications au moyen de liens de télécommunication. Ces applications nécessitent des moyens techniques et financiers important lors de l'achat, la mise en service ou simplement l'exploitation. L'ASP permet alors de payer uniquement pour l'utilisation.

B2A : Le Business to Administration désigne les transactions entre une entreprise et une administration.

B2B : Le Business to Business concerne les transactions entre les entreprises.

B2C : Le Business to Customer est sans doute l’aspect le plus visible du commerce électronique.

Business Intelligence : Applications utilisatrices de la GEIDE. Ensemble des techniques d'organisation et statistiques, et des outils de travail pour la gestion des informations et documents stratégiques notamment sous forme électronique; généralement utilisés pour la veille technologique.

Buyside : Solutions d'approvisionnement sur mesure pour répondre aux besoins spécifiques de l'acheteur. Les fournisseurs peuvent par exemple présenter leurs offres dans l'Extranet du client.

CPFR : (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) Application d'approvisionnement partagée, qui peut prendre plusieurs formes, mais qui consiste en une vision commune distributeur-industriel sur les prévisions de ventes et de livraison. Selon les accords entre les partenaires, il peut ensuite y avoir un échange de proposition de commande (CMI ou VMI). Cette méthode nécessite une forte collaboration des partenaires, quant aux prévisions, aux méthodes de réapprovisionnement mais également sur la gestion des promotions ou de l'introduction de nouveaux produits.

CRM : (Customer Relationship Management) Système de gestion de la relation avec la clientèle.

CFP : Capacity requirement Planning - Planification des besoins en capacité
Fonction d’établissement, de mesure et d’ajustement des limites ou niveaux de capacité, en particulier la détermination de la quantité de ressources (main d’œuvre et machine), nécessaires pour les tâches de production. Les ordres lancés et planifiés du calcul de besoins sont les rentrées du CRP qui convertit ces ordres en heures de travail par poste de charge et par période.

CPFR : (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) Application d'approvisionnement partagée, qui peut prendre plusieurs formes, mais qui consiste en une vision commune distributeur-industriel sur les prévisions de ventes et de livraison. Selon les accords entre les partenaires, il peut ensuite y avoir un échange de proposition de commande (CMI ou VMI). Cette méthode nécessite une forte collaboration des partenaires, quant aux prévisions, aux méthodes de réapprovisionnement mais également sur la gestion des promotions ou de l'introduction de nouveaux produits.

CRM : (Customer Relationship Management) Système de gestion de la relation avec la clientèle.

CFP : Capacity requirement Planning - Planification des besoins en capacité
Fonction d’établissement, de mesure et d’ajustement des limites ou niveaux de capacité, en particulier la détermination de la quantité de ressources (main d’œuvre et machine), nécessaires pour les tâches de production. Les ordres lancés et planifiés du calcul de besoins sont les rentrées du CRP qui convertit ces ordres en heures de travail par poste de charge et par période.

CPFR : (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) Application d'approvisionnement partagée, qui peut prendre plusieurs formes, mais qui consiste en une vision commune distributeur-industriel sur les prévisions de ventes et de livraison. Selon les accords entre les partenaires, il peut ensuite y avoir un échange de proposition de commande (CMI ou VMI). Cette méthode nécessite une forte collaboration des partenaires, quant aux prévisions, aux méthodes de réapprovisionnement mais également sur la gestion des promotions ou de l'introduction de nouveaux produits.

CRM : (Customer Relationship Management) Système de gestion de la relation avec la clientèle.

CFP : Capacity requirement Planning - Planification des besoins en capacité
Fonction d’établissement, de mesure et d’ajustement des limites ou niveaux de capacité, en particulier la détermination de la quantité de ressources (main d’œuvre et machine), nécessaires pour les tâches de production. Les ordres lancés et planifiés du calcul de besoins sont les rentrées du CRP qui convertit ces ordres en heures de travail par poste de charge et par période.

vCPFR : (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) Application d'approvisionnement partagée, qui peut prendre plusieurs formes, mais qui consiste en une vision commune distributeur-industriel sur les prévisions de ventes et de livraison. Selon les accords entre les partenaires, il peut ensuite y avoir un échange de proposition de commande (CMI ou VMI). Cette méthode nécessite une forte collaboration des partenaires, quant aux prévisions, aux méthodes de réapprovisionnement mais également sur la gestion des promotions ou de l'introduction de nouveaux produits.

CRM : (Customer Relationship Management) Système de gestion de la relation avec la clientèle.

CFP : Capacity requirement Planning - Planification des besoins en capacité
Fonction d’établissement, de mesure et d’ajustement des limites ou niveaux de capacité, en particulier la détermination de la quantité de ressources (main d’œuvre et machine), nécessaires pour les tâches de production. Les ordres lancés et planifiés du calcul de besoins sont les rentrées du CRP qui convertit ces ordres en heures de travail par poste de charge et par période.

CPFR : (Collaborative Planning Forecasting and Replenishment) Application d'approvisionnement partagée, qui peut prendre plusieurs formes, mais qui consiste en une vision commune distributeur-industriel sur les prévisions de ventes et de livraison. Selon les accords entre les partenaires, il peut ensuite y avoir un échange de proposition de commande (CMI ou VMI). Cette méthode nécessite une forte collaboration des partenaires, quant aux prévisions, aux méthodes de réapprovisionnement mais également sur la gestion des promotions ou de l'introduction de nouveaux produits.

CRM : (Customer Relationship Management) Système de gestion de la relation avec la clientèle.

CFP : Capacity requirement Planning - Planification des besoins en capacité
Fonction d’établissement, de mesure et d’ajustement des limites ou niveaux de capacité, en particulier la détermination de la quantité de ressources (main d’œuvre et machine), nécessaires pour les tâches de production. Les ordres lancés et planifiés du calcul de besoins sont les rentrées du CRP qui convertit ces ordres en heures de travail par poste de charge et par période.

Anonyme a dit…

DRP : Distribution Requirement Planning - Planification des Besoins de Distribution
Système permettant aux entreprises, ayant une activité de distribution, de fluidifier et optimiser leurs flux depuis la demande locale jusqu’aux approvisionnements en matières ou produits finis. Ces fluidifications et optimisations couvrent les différentes structures et niveaux de distribution, mais également les liens entre ces derniers.

E
EAI : (Entreprise Application Integration).Ensemble des logiciels visant à une intégration facilitée entre les applications de l'entreprise.

EAN : Abréviation signifiant à l'origine "European Article Number". Maintenant, il s'agit du sigle pour le système d'identification et de codification géré par la "International Article Numbering Association ( EAN)".
Eclatement : Action de répartir des colis ou le contenu d'une palette reçue d'un fournisseur sur les palettes à destination des magasins. Cette définition s'applique uniquement qu'au flux tendu.

ECM : (Enterprise Commerce Management) La gestion de contenu d'entreprise couvre les aspects création, acquisition, mise à disposition et gestion de l'information dans l'entreprise. La gestion de contenu est la colle entre les applications orientées vers l'environnement extérieur de l'entreprise (CRM, Vente automatisée) et celles qui sont internes à l'entreprise (PGI, Traitement des commandes).

E-Commerce : Abréviation de commerce électronique par l'intermédiaire de l'Internet. Permet à la fois des transactions de commerce électronique inter et intra entreprises, et entre clients et entreprises. Le flux du travail commence dès réception de la commande. Celle-ci est envoyé électroniquement aux différents services concernés (acceptation de la commande, stock, expédition, service client, comptabilité etc.). Permet également l'archivage électronique des transactions. L’e-Commerce est idéal pour la vente directe de marchandises via Internet.

ECR : Efficient Consumer Response - Réponse efficace au Consommateur
Ensemble de vision stratégique, démarches organisationnelles et contractuelles et modules de systèmes d’information visant, à partir de la connaissance des besoins et des consommations clients, à optimiser les différents maillons de la chaîne logistique (systèmes d’offre ou " Supply side ") afin de rechercher l’apport de valeur ajoutée pour le client sur chacune des opérations.

EDI : Echanges électronique des données par des connexions point à point basées sur des formes, des messages et des données standard

http://www.e-logisticien.com/glossaire/#b

Anonyme a dit…

E-procurement : Une chaîne d’approvisionnement est constitué de nombreuses entreprises et de nombreux clients : les fabricants, les entreprises de logistique, les expéditeurs, les réceptionnaires, et les détaillants travaillent tous ensemble à la coordination, de la prise de commande, de son traitement, de la réalisation de l’offre et son traitement.

Filo guidage : Technique qui permet de guider un chariot au moyen de fils noyés dans le sol.

Flux poussé : Les opérations nécessaires à l’exécution d’un flux sont faites les uns après les autres.

Fulfillment : Délégation de certaines opérations matérielles sur un prestataire externe. Les principaux domaines du fulfillment sont le marketing direct, la gestion des promotions et la logistique. Un site peut avoir recours au fulfillment pour la gestion, l'expédition et la facturation des commandes.

Gestion des emplacements : Souvent confondu avec la gestion des stocks, il ne donne aucune information comptable. A une référence donnée, il y a un ou plusieurs emplacements.

Gestion de parc : Ensemble des opérations d'entretien, de maintenance et d'organisation des flux qui permettent de disposer en temps voulu, à un endroit donné, des quantités nécessaires de palettes. La gestion de parc peut se faire pour son propre compte, dans le cadre d'une prestation de service spécifique ou bien d'un système locatif.

GPA : Gestion Partagée des Approvisionnements

Kitting : Opération de prélèvement de composants nécessaires à un lot de fabrication. Cette opération correspond au picking mais à usage interne.

KM : Le Knowledge Management (ou gestion des connaissances) consiste à créer un flux optimal des connaissances alimenté par tous les acteurs de l'entreprise dans un contexte d'entreprise étendue. Retour d'expérience, innovation, apprentissage....sont pratiqués par tous et tous les métiers sont impliqués dans cette gestion du capital intellectuel de l'entreprise.


http://www.e-logisticien.com/glossaire/#b

Anonyme a dit…

M-commerce : Utilisation des téléphones cellulaires ou portables avec Wap ou i-mode pour des activités relatives au commerce électronique.

Palettisation : Action de charger des marchandises sur une palette. Généralement, terme employé pour définir l'emploi de palettes lors de manutentions.

PBC : Planification des besoins en capacité. Associée au JAT, cette méthode permet de prévoir la demande à l'aide de données informatisées et de réduire considérablement les stocks.

PCAO : Préparation de commandes assistée par ordinateur. Le linéaire de préparation est équipé d'un système d'affichage lumineux, indiquant les adresses de prélèvements et les quantités à prélever.

Réseau d'achat : Plate-forme d'achat qui regroupe les requêtes de plus petits clients afin de concentrer leur puissance d'achat. Le réseau peut être configuré horizontalement ou verticalement. Ce type de réseau est utilisé pour des achats spot et pour des achats systèmatiques.

SET : Secure Electronic Transaction - Norme de sécurisation des transactions sur Internet, développée par un groupement de partenaires (Microsoft, Netscape, IBM, VIsa, Mastercard...). Cette norme , qui n'est pas arrêtée, fixe le cahier des charges des systèmes de paiement qui offriraient les conditions de sécurité optimales.

Signature électronique : La conclusion d'un contrat doit être validée par une signature. Cette signature peut être authentifiée sur la base de l'écriture. Cette possibilité n'existe pas sur Internet, il faut donc trouver un moyen permettant de donner la preuve de l'identité ou de l'auteur. La signature électronique est la somme d'éléments de vérification calculée à partir du document à signer et d'un code seulement connu du propriétaire.

SGBD : Système de gestion de base de données qui permet l'exploitation de l'information contenue dans une base de données.

SGML : Standard Generaliseed Markup Language - Norme ISO qui permet de décrire un document comme un ensemble organisé pour y accèder de manière automatique. SGML décrit la structure d'un document et de repérer dans ce document les différents éléments ( chapitres, paragraphes, notes, titres, etc.). La structure logique devient indépendante du matériel et des logiciels à sa traduction, à sa présentation et à ses moyens de restitution.

SMTP : Simple Mail Transfer Protocol - Protocole d'application TCP/IP qui est la norme de courrier électronique la plus utilisée.

SSCC : Abréviation de Serial Shipping Container Code (Numéro de colis). Code international à 18 chiffres dont la structure a été définie par EAN International et permettant d'identifier chaque colis de façon unique. Symbolisé en EAN 128 sur le colis et transmis dans l'avis d'expédition, il permet d'assurer la traçabilité des produits.

Taux d'immobilisation : Coût de stockage d'une unité stockée pendant une unité de temps.

Taux de qualité de service : Ratio du nombre de commandes livrées conformes au besoin exprimé par rapport au nombre total de commandes reçues sur une période donnée.

Taux de rotation : Rapport de la valeur moyenne de la demande à la valeur moyenne du stock par unité de temps.

TMS : Transport Management System - Logiciel de gestion de transport.

Traçabilité amont : La traçabilité amont désigne les procédures et outils mis en place pour pouvoir retrouver ce qui est advenu avant que cet acteur devienne responsable légalement ou physiquement des produits.

Traçabilité ascendante : La traçabilité ascendante est la capacité, en tout point de la chaîne d'approvisionnement à retrouver l'origine et les caractéristiques d'un produit à partir d'un ou plusieurs critères donnés. Elle sert notamment à trouver la cause d'un problème qualité.

Traçabilité aval : La traçabilité aval désigne les procédures et outils mis en place pour pouvoir retrouver ce qui est advenu après le transfert de propriété ou après le transfert physique des produits de l'acteur vers un tiers.

Traçabilité descendante : La traçabilité descendante est la capacité, en tout point de la chaîne d'approvisionnement, à retrouver la localisation de produits à partir d'un ou plusieurs critères donnés. Elle sert notamment en cas de rappel ou de retrait de produits.

Traçabilité interne : La traçabilité interne désigne la traçabilité mise en place tout au long de la transformation effectuée par l'acteur sur ses produits. Elle est indépendante des partenaires commerciaux.

Tracing : Il s'agit d'apporter la preuve de l'acheminement et de la livraison. La plupart du temps, cette preuve est la copie du document de livraison signé par le destinataire comportant son nom et l'heure de remise de l'envoi.

Tracking : En logistique, le tracking est un service proposé par certains transporteurs qui permet à l'internaute qui vient d'effectuer un achat nécessitant une livraison, de suvire"à la trace" le colis correspondant.

VMI : Vendor Managed Inventory - Pilotage des niveaux de stock par les consommations. Méthode de gestion des localisations et des niveaux de stock, basée sur les consommations réelles des produits en surface de vente, dont la gestion du flux, depuis les sites de production jusqu'à la mise en place dans les linéaires des magasins est pilotée par le fournisseur.

VPN : Virtual Private Network - Constitution d'un réseau permettant une communication entre les partenaires.

WebEdi : Outil permettant l'échange de données entre une communauté d'entreprises qui utilise des traitements d'échange automatisés et une communauté d'entreprises qui utilise des formulaires électroniques. Le Web Edi ou Edi formulaire est une solution EDI maintenue à distance et bâtie sur les standards EDI et Internet. Ainsi pour l'entreprise déjà équipée d'une station EDI les flux entrants et sortants restent gérés par le ou les RVA utilisés avec les partenaires existants. C'est au RVA de router les messages vers le Web Edi. La fonction de ce WebEdi est de traduite les messages EDIFACT en clair et d'en permettre la consultation, via une connexion Internet par la petite entreprise. Toutefois, ces messages, sous la forme de formulaires, ne peuvent être intégrés automatiquement dans une application de gestion. Des outils ont d'ores et déjà été développés afin de permettre l'échange de messages commerciaux, la mise à jour de données commerciales ou de données partenaires.

Workflow : Système d'ordonnancement des flux de travaux dans une organisation. A la base du Workflow, il y a une modélisation des fonctions et procédures de l'entreprise. La plupart des solutions de Workflow prennent en charge la régulation des flux de travaux en prenant compte des notions de synchro, de temps d'exécution et des alertes.

Yield Management : Mode particulier de tarification différencié en fonction du moment de réservation et de la période choisie. Système surtout utilisé en gestion hôtelière et dans le domaine des compagnies aériennes qui permet d'optimiser le CA avec des coûts et des capacités en grande partie fixes.


http://www.e-logisticien.com/glossaire/#b

Anonyme a dit…

Quick Response
Méthode de gestion des approvisionnements reliant fournisseurs et clients en vue d'une plus grande vitesse d'ajustement à la demande.

http://www.e-tlf.com/french/liensfaq/lexique.htm

Adama YACOUBA a dit…

Les KPI logistiques (Key Performance Indicator) sont des sortes de tableaux de bords qui permettent de mettre rapidement en relief les points qui sont à améliorer et leurs causes concernant la qualité. Ils permettent donc d'àméliorer les performances de la supply chain d'une entreprise.

Adama YACOUBA a dit…

La méthode du barycentre (ou centre de gravité)est un indicateur d'aide à la décision.Il permet d'obtenir un centre de gravité qui représente une solution économique optimisée.

Adama YACOUBA a dit…

SRM, Supplier Relationship Management:
ce terme correspond à la gestion de la relation fournisseur et correspond l'utilisation de technologies par une entreprise afin d'améliorer le mécanisme d'approvisionnement auprès de ses fournisseurs.
Cette méthode permet ainsi l'amélioration de la communication avec les différents fournisseurs, de partager une méthodologie et d'aoir une meilleure connaissance de chaque fournisseur.
Cette démarche a pour finalité l'optimisation du processus d'approisionnement

Adama YACOUBA a dit…

Ordinogramme:

Permet de représenter une suite d'activités ou un processus afin de déterminer la chronologie des tâches et les relations entre celles-ci.

Il permet à une équipe de travail d'acquérir une vision commune du processus, avec le langage qui lui est associé, ce qui facilite les communications et les mesures d'amélioration.

Adama YACOUBA a dit…

ADPEC Automatic Data Processing Equipment Code

Anonyme a dit…

Les 5S

Seiri, Seiton, Seiso, Seiketsu, Shitsuke qui signifient débarras, rangement, nettoyage, ordre et rigueur traduit la volonté de débarrasser du poste de travail les choses inutiles qui l’encombrent, de garder l’endroit en ordre afin d’y instaurer la rigueur essentielle pour y faire du bon travail

Anonyme a dit…

méthode des zéros

En réaction aux limites du Taylorisme et du Fordisme, le Toyotisme apporte des notions de réactivité (flux tendus grâce au Kanban), et de qualité de la main d'oeuvre (polyvalence, tâches plus variées et donc motivantes).

A l'origine, cette méthode était celle des 3 zéros (0 défaut, 0 délai, 0 stock). Depuis de nombreux "autres zéros" sont venu enrichir cette méthode, à tel point que la méthode des zéros n'est toujours pas figée...


A titre d'exemple citons les éléments les "principaux zéros":
- 0 défaut
- 0 délai
- 0 stock
- 0 conflit
- 0 accident
- 0 papier
- 0 pollution

Anonyme a dit…

Effet Mohring

L'effet Mohring est une propriété des systèmes de transport illustrant les rendements d'échelle.

Lorsque, sur un trajet donné, les moyens de transport (par exemple des bus) augmentent en quantité pour satisfaire la demande, leur fréquence augmente également, rendant l'utilisation de ces moyens de transport plus avantageux pour les utilisateurs (puisque leur temps d'attente diminue).

Anonyme a dit…

Soutien logistique intégré (SLI)

Le Soutien Logistique Intégré (SLI, ou Integrated Logistic Support) est un ensemble de techniques visant à définir le système de soutien qui sera associé au système principal. Le but du système de soutien est d'assurer au système principal sa disponibilité opérationnelle.

Les principaux éléments pris en compte dans le soutien logistique sont les suivants :

Infrastructure
Main d'œuvre
Transports/ Acheminements
Lots de pièces de rechanges
Moyens de Test et de Soutien (Support and Test Equipments ou STE)
Formation
Assistance technique
Moyens d'Emballage / Manutention / Stockage / Transport

Des Analyses du Soutien Logistiques (ASL) sont menées afin de déterminer le système de soutien qui sera le plus efficace pour le coût global de possession (CGP ou Life Cycle Cost LCC) le plus faible.

Anonyme a dit…

MRPII

Planning des ressources en production qui généralise le calcul des besoins et l'étend à d'autres ressources autres que les produits comme les capacités machines et les effectifs.

Source: cat-logistique.com

Anonyme a dit…

Action d'organisation

une action d'organisation se décompose en 4 phases principales

- LA PRÉPARATION est la phase de première définition qui régira l'action d'organisation( champ d'action, calendrier, démarches, définition et répartition des rôles,...)

- LE DIAGNOSTIC en tant que tel qui suppose une collecte de données, au moyen de techniques diverses ou une évaluation des données. C'est la phase essentielle de l'action d'organisation qui trop souvent est bâclée ou est par trop inexistante.
C'est à l'issue de cette phase que l'on présente le plan d'actions

-L'ACTION : La conduite de l'ACTION peut se faire sur différentes échéances de temps en fonction du type et de la complexité des actions ( voire ci après les types d'actions). La mise en oeuvre d'une nouvelle organisation peut être précédée d'une phase d'expérimentation sur un secteur pilote et accompagnée d'actions de formation.

LE CONTRÔLE est une phase essentielle et souvent mal réalisée,Un contrôle efficace suppose l'existence d'objectifs et d'indicateurs précis au début de l'action, un système de suivi et de pilotage et une intégration e la dynamique de changement au fur et à mesure du déroulement de l'opération.

source: cat-logistique.com

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